(vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat...

∝ 6EME ANNEE

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louise vesper wiltmore

ft. Barbara Palvin

Carte d'identité:

Nom :

Wiltmore

Prénoms :

Louise Vesper

Date de naissance :

15 août

Lieu de naissance :

Angleterre

Âge :

16 ans

Année ou Métier :

6e année

Situation Civile :

Célibataire, parce qu'elle n'a pas l'âge de se marier, mais elle a un chéri Razz

Pureté du sang :

Prétendument sorcier.

Baguette :

Crin de licorne, bois de cerisier, 26.1 centimètres.

Epouvantard :

Deux femmes. Sa mère et sa grand-mère, toutes les deux se tenant bien droites et la regardant dans les yeux.

Patronus :

Un corbeau.

Animal de compagnie :

Une chouette appelée Lou.

Don particulier:

Inexistant, même si d'après son grand-père un peu sénile, elle sera une grande voyante... Ce qui est bien entendu totalement faux.

Faction :

Neutre et assez tiraillée des deux côtés.

Autres informations:

Caractère

Avec de tels drames dans sa petite vie, Vesper aurait pu se renfermer et devenir une fille désagréable et méchante, mais c’est tout le contraire.
Joyeuse, trouvant toujours une raison de sourire, elle fait preuve d’un optimisme infaillible qu’elle transmet dans ses gestes et ses paroles. Vesper a tout de la fille parfaite qui agace les autres filles, cachant très bien ses problèmes à travers des éclats de rire et une bonne humeur omniprésente. Malheureusement, elle a beaucoup de difficultés en cours et c’est bien là son plus grand défaut. Quand elle n’est plus à rire avec ses amis et à partager ses petits bonheurs, elle devient très vite songeuse et rumine du noir. Alors devant un parchemin vierge, elle est tout simplement incapable de se concentrer. Pour penser à autre chose, elle bavarde, elle observe les autres, et ses professeurs ont tendance à croire que c’est de la mauvaise volonté. Peut-être qu’au fond, c’est vrai, elle n’a pas envie d’être une bonne sorcière, parce qu’elle n’aurait jamais dû en être une... Mais bon, elle n’en a pas tant l’impression que ça. Elle ne travaille pas beaucoup mais essaie de faire des efforts depuis qu’elle a manqué de rater ses BUSEs.
Vesper est aussi passionnée des arts en général, notamment la danse. Elle pratique ce sport depuis qu’elle fait un mètre les bras levés, et rien ne peut l’arrêter depuis qu’elle a décidé d’en faire son métier. Elle voudrait enseigner la danse, mais n’en parle à personne ; qui comprendrait son désir de danser en pleine guerre, de se rapprocher des moldus alors que ses parents sont supposés être sorciers ?

Niveau défaut, elle se laisse trop vite déstabiliser, et profite un peu de l'image naïve qu'elle envoie aux autres pour leur mentir parfois. Elle a aussi un gros problème avec l'engagement ; l'idée de se marier et de fonder une famille la terrifie, elle préfère ne rien concrétiser ; faire des choix est aussi un supplice pour elle, qui préfèrera qu'on choisisse à sa place. Elle ne se croit pas très importante, reste assez discrète et secrète sur elle-même, ce qui ne se voit pas souvent : elle parle de tellement de choses que personne ne voit qu'elle oublie l'essentiel.

Vesper n’est pas quelqu’un de susceptible, elle a de l’humour et de l’auto-dérision, mais elle est un brin lunatique et il ne faut pas non plus trop l’embêter quand elle ne pétille pas autant qu'à l'habitude. Pas qu’elle répondrait ou deviendrait violente -certainement pas-, mais comme elle est assez fragile, il en faut peu pour la décourager ou la faire fondre en larmes. Elle-même est exaspérée par tant de sensibilité et essaie de s’endurcir, mais rien à faire, elle ne peut pas raisonner contre les autres, elle trouve toujours des excuses dans les comportements les plus odieux de certains camarades. Vesper a assez peu confiance en elle dans la plupart des domaines, mais elle paraît assurée quand elle est entourée parce qu’elle n’hésite pas à aller de l’avant, faire voir le bon côté des choses ou venir en aide aux gens. Elle a toujours besoin de se sentir entourée et aimée, et sa gentillesse lui a attiré pas mal d’amis. C’est le genre de fille qui a besoin de se sentir en sécurité et qui ne peut se défendre que si elle se sent soutenue, sans quoi elle peut baisser les bras trop facilement. Peu méfiante mais assez lucide, elle ne se fait pas souvent avoir parce qu’elle inspire la bonté à la plupart des gens et qu’elle s’entoure des bonnes personnes, mais ça peut tout de même lui jouer des tours. C’est une fille qui n’est pas du tout rancunière et qui part du principe que les gens lui veulent du bien – à moins qu’ils crient haut et fort qu’ils sont des mages noirs et qu’ils veulent la tuer, bien entendu.

La jeune fille est assez naturelle, et n’a pas besoin de trop d’artifices ; Vesper n’aime pas les gens superficiels (même si elle sait se montrer coquette). Simple et douce, tout le monde a tendance à imaginer qu’elle a eu une enfance bien tranquille. Rien n’est plus facile que de l’aimer et les gens ont tendance à vouloir la protéger instinctivement.

Notes aux Buses et Aspics si adulte

Astronomie : D
Botanique : P
Défense contre les forces du mal : A
Histoire de la magie : T
Métamorphoses : A
Potions : A
Sortilèges : P
Etude des Moldus : O
Divination : EE

A propos de moi:

Sur le web ou dans la vie IRL on me connait sous le nom de Brisouille la Fripouille mais on me surnomme souvent Bris. J'ai actuellement soufflé 928 bougies. J'ai choisi d'utiliser Barbara Palvin comme personnalité et ne souhaite pas de doublon d'avatar. J'ai connu Levicorpus grâce à une personne chère à mes yeuxet mon impression est qu'il est sublime. Je ne suis pas en internat. Je ne souhaite pas être parrainée. Et étant bien en règle, je peux vous dire que le code du règlement est validé par Bris

_Viviie.

∝ 6EME ANNEE

you know my name, not my story.

La vie, c'est comme une boîte de chocolat... On sait jamais sur quoi on va tomber.

Les Wiltmore sont une famille au sang pas tout à fait irréprochable, mais qui compte dans ses membres un grand nombre de sorcier, et ce depuis plusieurs générations. Ce n'est cependant pas avec ce statut assez mélioratif de sang qu'ils ont pu être respecté ces vingt dernières années, mais plutôt grâce à l'admission de plusieurs d'entre eux au sein de Ministère, où ils ont grimpé les échelons pour atteindre des potes haut-placés et importants. Peu à peu, cela a fait son chemin et le nom des Wiltmore est devenu assez célèbre au sein de la population magique. Bien entendu, il est loin derrière de grands noms tels que les Black, les Greengrass ou les Yaxley ; mais il a quand même sa place dans les plus grandes fortunes sorcières de Grande-Bretagne.
Les Wiltmore sont connus pour être bons dans les affaires, et on leur pardonne donc certains écarts dans la pureté de leur sang.

1976

Ce matin-là, quand Madeleine Wiltmore, dite « Maddy » reçut un hibou signé du nom de sa sœur, elle pâlit considérablement. Ouvrant la lettre les mains tremblantes, elle lut le contenu en se mordant les lèvres, devant parfois s'arrêter pour effacer les larmes qui l'empêchaient de poursuivre sa lecture. Quand son mari lui demanda ce que c'était, elle leva les yeux vers lui et fondit en larmes.

- C'est Jane. Elle... Elle veut récupérer Vesper.

Once upon a time

La petite fille se balançait au son du tic tac du vieux réveil posé sur la table de chevet. Tic. Tac. Tic. Tac. Elle s’ennuyait ainsi depuis des heures maintenant mais elle n’avait rien trouvé de mieux à faire. Tic. Tac. Elle pourrait essayer de dormir. De jouer. Après tout, rien ne l’en empêchait ; elle avait plusieurs poupées dans sa chambre, quelques livres qu’elle arrivait à déchiffrer et de quoi dessiner. Mais rien à faire, elle n’avait pas le cœur à jouer. Tic. Tac.
Elle tressaillit en entendant des cris dans la cuisine. Son ventre gargouilla même si elle n’avait plus faim du tout. Tic. Tac. Tout ça pour une simple chute. Elle ne comprenait toujours pas ce qui était arrivé, encore moins la réaction de sa mère. Elle aurait dû être aussi soulagée que son père, mais non. Tic. Tac.
La petite se leva, agacée par son manège. Elle n’en pouvait plus du son de ce fichu réveil ! A peine cette pensée effleura son esprit que ledit réveil s’arrêta. Tout simplement. La petite fondit en larmes. Ca recommençait.
Tout avait commencé quand sa mère l’avait appelé pour descendre dîner. Tout était normal, sauf que Louise préparait un cadeau surprise pour la fête des mères – en plus du cadre préparé avec l’école. Un peu en retard, elle avait voulu se dépêcher dans les escaliers. Elle s’était entravée et avait manqué de dégringoler les escaliers en partant la tête la première. Le réflexe qu’elle avait eu de mettre les mains en avant pour se protéger avait été précédé par un autre, qui venait d’on-ne-sait-trop-où, mais qui avait été bien plus utile : Louise s’était figée dans les airs. Comme ça. Son nez à quelques centimètres de la prochaine marche. Craignant de rompre le charme en bougeant, elle était restée immobile comme ça quelques secondes avant que ses parents, inquiets du silence soudain, n’arrivent en courant.
Il y avait eu un long silence quand ils avaient aperçu la scène. Et puis son père s’était approché en courant, et, très doucement, l’avait soulevée pour la remettre sur ses pieds. L’enfant avait alors réalisé en fondant en larmes que le cadre qu’elle avait créé pour la fête des mères, lui, n’avait pas survécu à la chute et était brisé en mille morceaux au sol.
Sa mère l’avait regardée fixement avant de murmurer un « Monte dans ta chambre » glacial et de partir dans la cuisine sans se retourner. Son père l’avait suivie et Louise, complètement traumatisée par le cadre cassé, persuadé que sa mère lui en voulait d’avoir cassé son cadeau sans se faire une égratignure, avait obéi sans discuter.
... Et maintenant, le réveil s’arrêtait tout seul parce qu’elle l’avait voulu.
Bien sûr, cela faisait quelques jours déjà qu’à l’école, d’étranges évènements survenaient ; la sonnerie arrivait plus tôt lorsque Louise s’ennuyait en cours, ou lorsque la carafe d’eau était tombée sur cette peste d’Emily à la cantine. Mais Louise avait simplement cru avoir de la chance. Et là, pourtant, ça ressemblait à autre chose... C’était comme... De la magie.

To be different or not to be

- Jane, ça va ? Tu ne te sens pas bien ?

Carl venait juste de rentrer du travail quand il avait trouvé sa fiancée recroquevillée dans un fauteuil, plus pâle qu’il ne l’avait jamais vue. Il s’accroupit et lui prit une main, qu’il trouva glacée. Depuis combien de temps Jane était-elle prostrée ainsi ?

- Non ça ne va pas, Carl. Ça ne va pas du tout. Je... Je crois que je suis enceinte.

Un léger silence s’installa entre eux. Carl eut l’impression d’une douche froide. Il y avait tellement de choses qui se mélangeaient dans son esprit qu’il avait du mal à les démêler et à avoir une pensée cohérente.
Il allait être papa. Ils n’étaient pas encore mariés. Jane n’avait pas du tout l’air heureuse de cette nouvelle. Ce n’était pas certain, inutile de s’emballer. Sa mère n’allait pas du tout apprécier, elle n’aimait pas Jane. Il fallait peut-être prendre quelques jours de congés ? Jane n’était peut-être pas heureuse parce qu’elle avait prévu de le quitter. Elle était distante ces derniers jours. Depuis quand n’osait-elle pas le lui dire ?
Il resta sans voix un instant, avant de se ressaisir.

- Où est le problème, Jane ? Nous serons heureux, je vais...
- Je t’ai menti, voilà où est le problème.
Carl se sentit encore plus mal et désorienté.
- Ma famille n’est pas morte. Ils sont juste... Différents. Et je ne veux pas d’enfants. Je ne veux pas d’enfants parce que je souffrirai trop qu’elle soit comme eux, tu comprends ? Je ne veux pas de cet enfant, je n’en ai jamais voulu... Carl, la maison est petite, nous ne sommes pas mariés, nous n’avons pas beaucoup d’argent...

Jane fondit en larmes dans l’incompréhension la plus totale de son fiancé. Elle avait dit : différents ? Mais qu’est-ce que cela pouvait bien signifier ?

Pretty Little Liars

- C’est une enfant très perturbée, ça lui ferait du bien. Elle pourrait canaliser sa violence, se défouler, faire sortir tout ce qu’elle garde pour elle, argumenta Jim.
- Canaliser quelle violence ? Elle a l’air très calme, elle n’a pas besoin de faire du karaté, de la boxe ou je ne sais quel sport où elle se blessera ! Elle a juste besoin qu’on parle avec elle, tu sais, c’est déjà beaucoup et...
- Et ça a très bien marché avec ta sœur, c’est vrai ! asséna Jim sans voir sa femme tressaillir. Ecoute, Maddy, je comprends que tu sois inquiète à son sujet, mais je t’assure, il faut trouver une solution. Ca fait huit ans qu’on essaie d’avoir un enfant, et elle nous tombe du ciel. Seulement si on veut qu’elle soit une fille épanouie, il va falloir apaiser toutes les souffrances liées à vos histoires de famille. Je pense que...
Jim s’interrompit en voyant une lueur verte naître dans l’âtre de la cheminée. Sa belle-mère sortit dignement en essuyant les résidus de suie sur sa robe de sorcier. Elle ne prit pas la peine de les saluer.
- Comment a-t-elle osé... Des années sans aucune nouvelle... Jane n’a donné aucune nouvelle depuis qu’elle est partie de la maison, ça fait une décennie que j’attends une lueur d’espoir, et rien... Et maintenant, elle nous confie sa fille, elle l’abandonne, comme ça, sans explications ? Je trouve son comportement honteux ! Honteux ! Je sais que ça a été une enfant malheureuse, être Cracmolle dans une famille sorcière n’a pas du être facile pour elle, mais si ça justifie son comportement jusque-là, ça ne le pardonne pas ! La petite n’est en rien responsable de la magie qui vit en elle ! Je suis navrée de le dire de cette manière, mais une fois de plus, Jane a mis la honte sur notre famille et nous a déshonorés... Cela aurait été tellement plus simple si elle avait été une sorcière...
Jim et Maddy échangèrent un regard gêné. Jim savait à quel point Maddy détestait la manière dont sa mère parlait de sa sœur. Il savait à quel point Maddy aimait sa petite sœur, quoi qu’elle fasse ou soit, à quel point elle s’en voulait que celle-ci ait vécu une enfance malheureuse à cause de l’absence de pouvoirs magiques.
- Vous allez vous occuper de cette petite ? demanda la sorcière en soupirant.
- Oui, sourit Jim.
- Alors il faudra mentir, siffla aussitôt la belle-mère bavarde. Vous savez dans quel monde nous vivons ? Si on dit que cette enfant est Né-Moldue, il y aura trop de conséquences. Déjà, cela ravivera les cicatrices du passé, tout le monde se rappellera de ce petit problème que notre grande famille a rencontré en ayant en son sein une Cracmolle. Mais surtout, cette enfant vivra un enfer. Au cas où personne ne l’aurait remarqué, les manipulations au sein de notre Gouvernement sont régulières. Je suis certaine que un jour ou l’autre, être Né-Moldu pourra être dangereux pour elle. Si vous faîtes croire que sa famille est sorcière, elle ne sera pas exclue et la loi ne pourra jamais rien contre elle. Si vous dites la vérité, il y aura forcément de terribles conséquences. Et je crois qu’elle en a assez bavé pour l’instant. Ah, et changez son prénom. Ce serait dommage que quelqu’un découvre quelque chose dans plusieurs années.

Une fête des mères sans mère, c'est comme une tartine sans nutella.

Quelqu’un frappa à la chambre. Sans répondre, Vesper se recroquevilla en position fœtale et essuya ses joues d’un coup de manches. Elle ne voulait pas recevoir la moindre visite. Pas aujourd’hui. La porte s’ouvrit doucement et elle ferma les yeux. Avec un peu de chance, on la croirait endormie.

- Vesper, je sais que tu ne dors pas, chuchota Tante Maddy.

Raté.

- Je sais qu’aujourd’hui n’est pas un très beau jour pour toi, mais tu ne peux pas rester enfermée ici toute la journée, tu sais. Nous avions prévu de t’amener au parc, au zoo ou en ville.

Vesper ne répondait toujours pas. Elle n’en avait pas envie. Pas du tout même. Aujourd’hui, cela faisait deux ans qu’elle vivait dans cette maison. Sa chambre était à présent décorée selon ses goûts, elle avait des tas de jouets et plusieurs flacons de parfum. Elle avait pu essayer un balai magique et arrêter d’aller à l’école, où tout le monde commençait à la montrer du doigt : un précepteur venait maintenant lui apprendre des tas de choses. Bien sûr que cela l’intéressait, bien sûr qu’elle rêvait d’en apprendre plus sur ce monde qui lui était inconnu. Bien sûr qu’elle était heureuse de ne plus avoir à se cacher. Mais à quel prix ? Elle n’avait plus de nouvelles. Sa mère ne lui avait pas envoyé une seule lettre ; ni pour son anniversaire, ni pour Noël ou encore aujourd’hui, pour la fête des mères... Là où tout avait commencé. Basculé.
Ça recommençait. Les larmes coulaient encore une fois sur ce petit visage enfoui au milieu de polochons multicolores.

- Tu sais, tu es très courageuse, ma belle. Ce n’est pas facile de continuer à vivre normalement après tout ce que tu as vécu, et de ne plus voir tes parents tous les jours, nous en sommes tous conscients. Mais il va falloir que tu apprennes à vivre avec, parce que les autres ne savent pas. Et que si tu veux vivre avec des gens, tu dois apprendre à ne plus y penser.
- Les autres préparent des cadeaux pour la fête des mères. Aujourd’hui, ils sont heureux de pouvoir offrir quelque chose.
- Si tu veux, on peut inventer une fête à nous. Une fête de Tonton et une fête de Tante. Comme ça, tu pourras aussi fabriquer des choses toi-même et les offrir si ça te fait plaisir.
- C’est pas pareil, répliqua l’enfant.
- Ce ne sera jamais pareil. Nous ne seront jamais ton père et ta mère, mais on t’aime et on essaie de t’éduquer comme le feraient de vrais parents. Alors tu peux décider que nous serons toujours des étrangers à tes yeux ou choisir de nous intégrer en tant que membres de la famille.

Vesper croisa les bras, agacée et troublée.
Quiconque les regardaient voyait la une mère et sa fille. Quand elles se promenaient, quand Maddy amenait Vesper à l'école, tout le monde souriait et trouvait que la petite ressemblait beaucoup à sa mère. Son père par contre, c'était plus difficile ; mais quand les gens y croient, ils trouvent des excuses. Oh, si, ce doit être dans sa manière de sourire, dans ses expressions, elle tient tout cela de son papa. Si seulement ils imaginaient la vérité... Vesper chassa ces pensées de son esprit.

- Bon, alors ça te dit, le 10 août, comme fête des Tantes ? demanda-t-elle finalement.

Toi qui dessines au fond de ton ennui, les notes d'une mélodie

Les petites avaient à peine dix ans, mais elles étaient toutes assez douées pour leur âge. Souples et souriantes, malgré certains pas hésitants et maladroits, elles parvenaient à entretenir une certaine grâce dans leurs enchaînements. L’une d’elles, aux yeux perçants, était particulièrement concentrée et avait des gestes fluides. Quand la dernière note retentit, les petites saluèrent et s’éparpillèrent rejoindre leurs parents, fières de leur gala de danse. La petite aux yeux perçants se précipita, tout sourire, vers un couple qui l’applaudissait. Se sentant observée, elle se tourna ; mais elle ne put apercevoir personne dans la foule.

Jane réajusta ses lunettes de soleil et quitta les lieux dans la discrétion la plus totale.

Hogwarts, new home, new life

Beaucoup d'enfants, quand on leur demande le plus beau jour de leur vie, citent la réception de leur lettre indiquant qu'ils sont acceptés à l'école de sorcellerie Poudlard.
Vesper ne dit pas un mot quand elle reçut sa lettre, effrayée et triste d'être réellement une sorcière, comme le craignait sa mère.
Elle resta silencieuse pendant plusieurs jours. Malgré tous les efforts de ses parents adoptifs pour la faire sourire, parler, manger, Vesper restait très malheureuse de sa condition de sorcière.
Pourtant, quand elle entra à Poudlard, elle fut tellement éblouie par tout ce qui l'entourait qu'elle changea d'avis.
Sa mère n'arriverait pas à faire d'elle quelqu'un de mauvais ou de triste. Ici, elle pouvait prendre un nouveau départ ; elle ne serait plus la sorcière qu'on montre du doigt dans une école moldue, ni la fille abandonnée par sa mère des repas de famille. Non, personne ne saurait rien de ce qu'elle avait traversé et elle leur ferait croire qu'elle était heureuse.
C'est dans le train qu'elle prit toutes les nouvelles décisions.

Cela fait maintenant six ans que Vesper est à Poudlard. Elle a appelé sa chouette Lou, en souvenir de son ancien prénom, mais ne parle à personne de chez personne de ses problèmes. Elle respire la joie de vivre, beaucoup de gens l'apprécient pour son optimisme, elle a construit une nouvelle vie dans ce qu'on appelle son deuxième chez-soi. Poudlard l'aide à s'épanouir et elle a accepté le fait d'être une sorcière, même si elle ne fait pas beaucoup d'efforts scolairement parlant.

Sa grand-mère (la belle-mère bavarde) voit pourtant du potentiel en elle (on se demande bien où d'ailleurs) et essaie de la tirer du côté des mangemorts en la manipulant. Vesper ne s'en rend pas très bien compte et est assez effrayée par sa grand-mère et ses discours étranges. Tante Maddy, au contraire, lui parle toujours de la Magie Noire comme d'une abomination et lui apprend à être une fille bien.
Et puis, à côté de ces deux femmes, il y a sa mère. Sa mère, qui a décidé depuis peu de récupérer sa Louise sans explication, après huit ans de silence et harcèle sa tante et son oncle de lettres menaçantes.

Franchement, avec toutes ces femmes folles chez les Wiltmore, Vesper n'aspire qu'à une chose : la tranquillité. Et... Garder un esprit aussi sain que possible.

Invité

Ooooh Dianna (vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat... 782657

(vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat... 40375

Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche et à bientôt sur la CB ! I love you

Si tu as des questions, n'hésite pas Wink

∞ ADMIN EN CHEF ▬ 6EME ANNEE PREFETE

Salut Vesper et bienvenue sur Lévic' ! Bon courage pour la suite de ta fiche (vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat... 364988687

J'ai vu qu'il y avait une autre personne qui a pris Dianna, du coup, la priorité ira à la meilleure des fiches. Bonne chance et si tu as une question, n'hésite pas. (vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat... 40375

∝ 6EME ANNEE

Merci vous deux Coeur1

Après ce petit souci inutile Diannagronien causé par ma faute, j'ai changé la personne qui incarnera Vesper pour Barbara Palvin... Et j'ai fini ma fiche Cheerleader

∞ ADMIN EN CHEF ▬ 6EME ANNEE PREFETE

C'est notéééé (vesper) → la vie, c'est comme une boîte de chocolat... 4119086215

» vesper → si t'as pas d'amis... viens par ici!
» ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi.
» Hazel S. Collins ~ La vie, c'est comme une échelle. Il y a ceux qui montent et ceux qui descendent.

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