La nuit sera très longue || PV Corail //!\\

Invité

La nuit était tombée sur le Monde Magique depuis bien longtemps, minuit était déjà passé, toute l’école dormait à point fermé… Tout le monde ?? Non, pas moi James William Black. J’étais assis sur mon lit, je lisais un livre qui portait sur la Magie Noire. Certes, je sais utiliser les trois sortilèges impardonnables, je suis même très doué pour le Doloris, et j’avais déjà tué quelqu’un…
Non, ce que je voulais savoir, c’était les potions, j’en cherchais une en particuliers, celle qui permettait de dire rien que la vérité dès qu’on la boit. Cela m’était ABSOLUMENT utile. J’en avais besoin pour régler mes problèmes personnels avec ma fiancée, Amanda Riddle, qui est la petite fille de mon Maître…
Tiens en parlant de lui, la Marque des Ténèbres recommençait à me brûler, la douleur était horrible. Je serrai les dents en attendant un bon moment. Lui, il appelle tous ses disciples à le rejoindre, il sait que je ne peux pas, mais quand ils nous appellent, la Marque bouge et me fait mal. De plus, il m’inflige de devoir supporter cela, pour me « punir » de ne pas venir, alors qu’il sait très bien que je ne peux pas quitter Poudlard à la demande…
Une bonne demie heure plus tard, je n’avais plus mal, et je me replongeai dans mon ouvrage. Je n’étais pas du tout fatigué, en ce moment je dormais très peu, et comme par chance, le lendemain je n’étais pas fatigué, et aucunes cernes ne venaient m’enlaidir, je gardais toujours mon visage de beau gosse.
Une fois que je trouva ce que je cherchai, je pris un Parchemin, mon encrier et ma plume, et me mis à recopier de très belles écritures soigné et propres, les ingrédients ainsi que comment faire la potion.
Je mis un certain temps à tout réécrire car en faite la préparation faisait cinq pages recto verso, mais je garda mon calme et continua sans rien dire…

Quand j’eus tout fini, je changeai d’un coup de baguette magique mon bouquin de Magie Noire en livre sur le Quidditch, et je rangeai mon parchemin dans mes affaires de Potions, Rogue ne vérifiais jamais ce qui était écrit sur nos feuilles, et de toute façon il ne me dira rien, pas à son neveu, qui se trouve de surcroît à Serpentard…
Je m’étira, regarda l’heure, deux heures du matin… Je me leva, enfila un Jean décoloré et troué made in un grand couturier Sorcier qui me fabrique mes fringues sur mesure, et un débardeur blanc très moulant qui faisait ressortir mes abdos dus au Quidditch, ainsi que mes biceps.
Je pris un paquet de cigarette Moldu que j’avais confisquer à des petits de Cinquième Année, je mis ma baguette dans ma poche après avoir jeté un sortilège sur mon avant bras gauche, sort qui sert à masquer la Marque des Ténèbre pendant toute une journée.
Je descendis dans la Salle Commune, qui était bien entendu vide. Le feu de la cheminée commençait à s’éteindre, je m’assis donc sur un des plus confortable des fauteuils qui m’était bien entendu réservés, sortit ma baguette, et ranima le feu, la chaleur revins donc vite dans la salle.
Je sortis une des clopes, l’alluma et commença à la fumer… C’est la seule chose que j’apprécie chez les Moldus, leurs cigarettes. J’en fume de temps en temps, quand j’ai le blues ou quand je m’emmerde. En ce moment c’était les deux…

Invité

Assise sur le rebord de la fenêtre, le regard dans le vide, songeuse. Penser, réfléchir et traduire, c'est le but que recherchait Corail en cette nuit. Elle avait quitté son lit douillet, après s'être retournée des milliards de fois, le sommeil envolé, habillée de sa courte robe de chambre verte. Un magnifique spectacle s'élevait au dessus du parc du château, toutes les étoiles brillaient, et la lune était plus belle que jamais. La jeune verte et argent n'y prêtait pas la moindre attention. Un vide, un vide inégalable. Oui. Ce vide qui vous fait sentir frêle, incapable, impuissante et surtout...Solitaire. Un vide qui vous tourmente jours et nuit, sans interruption. Ce n'était peut être pas visible, et vous allez surement rire, mais c'était ce vide que ressentait Corail. Elle en avait plus que mare. Marre des études, Marre de ses parents qui ne lui prêtaient pas la moindre attention, ne savaient même pas si elle était vivante ou morte....Marre de vivre!!

A quoi sert-il d'avoir une vie? Dans un monde aussi immonde et horrible. A quoi bon? Les intello vous répondront que la vie est un sentier empli de savoir et de connaissances qu'il faut saisir à tout prix. Les fêtards que la vie est un moyen de rigolade, de rire et de fêtes, et qu'il faut en profiter car on ne vit qu'une seule fois. Les simples, qu'il faut réussir dans la vie, trouver sa voie, sa vocation et devenir l'un des meilleurs. Mais à quoi bon? Si la mort vous prendra tôt ou tard? Et toi Corail...dis moi...Quel est ton but dans la vie? Pourquoi vis-tu, pourquoi as-tu été née? Pourquoi? Une question qui reste jusque là sans réponses, et à jamais!

Après être enfin sortie de ses pensée, cette dernière décida de descendre dans la salle commune, là-bas le feu pourrai la réchauffer du froid qui commençait à s'emparer d'elle. Doucement et aux pas de louve, elle descendit les marches en colimaçon vers la salle des verts et argent. Cette dernière était bizarrement chaude et accueillante. Bizarre, à 2h du matin, le feu devrait être éteint depuis un bon moment déjà, hé non! celui là brulait, plus grand que jamais. Après avoir balayé la salle du regard, elle trouva finalement le coupable. Affalé sur un canapé, James avait dans la main une cigarette allumée, d'où s'élevait une fine fumée blanche. Décidant de ne pas réveiller les autres, elle s'approcha doucement de son ami qui n'avait pas encore remarqué sa présence.

Arrivée derrière le fauteuil, elle saisit la cigarette de sa main, et de sa voix habituelle, un sourire au coin, lui annonça.

Ce n'est pas bien de fumer, tu sais James?

Impossible qu'il ne la reconnaisse pas! James était l'une de ses conquête d'un soir, contrairement aux autres garçons, ils étaient restés en bons termes, même après cette nuit là.

Invité

La tranquillité, cela est rare de nos jours, surtout pour moi, en effet lorsqu’on est le Don Juan de toute l’école c’est difficile se retrouvé au calme, des personnes vous suivent sans arrêt, les filles bavent et gloussent comme des volailles quand vous apparaissez ou quand vous parlez. Ce genre de « groupies » est un peu fatiguant, non moi ce que je préfère se sont les demoiselle ayant un bon caractère, séductrice, tentatrice, de vraies petites lionnes avec qui je pourrai bien m’amuser, celle avec qui j’aurai une aventure d’un soir sans lendemain, que je plaquerai avec élégance et galanterie, nous resterions amies, et si une autre opportunité se présente nous nous jetterons l’un sur l’autre… C’est comme sa que sa marche et personne ne s’en ai jamais pleins, surtout pas moi.
Et les plus chanceuses sont celles avec qui je sors, elles sont un peu plus rares, ce sont celles pour qui j’ai des sentiments, enfin un tout petit peu… Car les seuls femmes que je n’est jamais autant aimé sont Amanda Riddle ma fiancée, et Pansy Parkinson ma meilleure amie et ex petite copine. Il n’y a que pour elles où j’ai des sentiments, et encore aujourd’hui je ne sais pas laquelle choisir… Je ne veux pas faire de la peine à l’une et à l’autre…
Mais en ce moment j’ai des problèmes avec les deux, en effet Amanda est de plus en plus désagréable à mon égard, elle me fuit presque, elle m’insulte et le gifle {C’est la première à me frapper, sa fait bizarre…}. J’aimerai comprendre pourquoi elle est comme cela, je ne lui est pourtant rien fait à ce que je saches ??
Et Pansy aussi est bizarre, depuis que je suis Mangemort et qu’elle est au courant du lien qui m’unie avec Amanda, Pansy est différente… De plus, physiquement elle a énormément changé, elle est blême, des cernes noirs, et est très amaigrie, je veux l’aider, la protéger…

Je réfléchissais à tout cela tranquillement allongé sur le fauteuil le plus confortable de ma Salle Commune, devant le feu que je venais de rallumer à coup de baguette. J’étais seul, normal quand il est deux heures du matin beaucoup de gens préfèrent dormir… Mes nuits sont de plus en plus courtes, à cause des petits problèmes personnels et de la Marque des Ténèbres qui se fait de plus en plus douloureuse chaque jour.
Parfois je me demande pourquoi ?? Pourquoi est-ce que cela tombe sur moi ?? Pourquoi pas les autres ?? Pourquoi je suis obligé de souffrir ??
Je ne trouve jamais de réponses à mes questions, alors dans ses moments là, je me contente d’envoyer balader ou de frapper des gens qui m’insupporte ou de draguer une jeune demoiselle assez charmante qui fera l’affaire pour une nuit… Changer mes habitudes ?? Non, cela me plaît tellement… Enfin je crois…
Le silence régnait en maître dans la salle presque obscure. Assis, je me contentai de fumer une clope, pour oublier, pour me détendre. Certes, j’en prends que très rarement pour ne pas me détruire comme font les Moldus. Mais cela vous fait vite oublier tous vos problèmes, les uns après les autres, jusqu'à ce que vous la terminiez, puis ils reviennent, vous devez donc en prendre une autre… C’est comme cela que l’on devient accro. Moi c’est la même chose mais avec les filles, je ne peux plus me passer d’elles.

Je pensais, réfléchissais tout seul dans mon coin, quand je fus dérangé par un faible bruit de pas, je me concentra donc sur cela. Apparemment c’était une demoiselle, car les marches ne grincèrent que légèrement, en tout cas celle-ci faisait tout sont possible pour ne pas réveillé les autres.
Je ne me retourna pas, je ne lui fit pas se plaisir. L’intrus compris au bout de quelques instants qu’elle n’était pas seule, car j’entendis ses pas se diriger vers moi, dans mon dos. Je senti ses mains sur le fauteuil, et presque la chaleur de son corps, je devina rapidement que la verte et argent devait être en tenue très légère vus qu’elle venait de quitter les dortoirs. Je n’eu pas le temps de cogiter plus, que l’on me piqua ma cigarette qui était presque terminer. Je ne me retourna pas, car je reconnu de suite la coupable : Corail Deverist. Cette dernière était une amie à moi, nous avions eu une aventure d’un soir ensemble. Je lui avais expliquer le lendemain avec galantise que l’on ne pouvait pas espérer une autre relation, elle compris tout à fait et nous restâmes en très bon termes.
Je fis un sourire amusé qu’elle ne vit pas, avant de lui répondre avec un petit air charmeur :

- Effectivement je suis au courant que cela n’est pas bien, je te remercie de me l’avoir prise.
Aurais-tu l’amabilité de la jeter s’il te plaît, et de me rejoindre, à mon avis tu aurais besoin de te réchauffer, car selon mon instinct tu dois sûrement être en petite nuisette ma belle Corail.

Invité

Corail vit James, quelques minutes après qu'elle lui ai prit sa
cigarette des main, lui parler d'un air qu'elle lui connaissait bien.
Cet air charmeur, qui a fait de lui l'une des conquêtes d'un soir de
Corail. Cette dernière se tenait toujours derrière lui. Elle avait prit
appui sur le dossier du fauteuil où était affalé James. Un odeur de
cigarette se répandait peu à peu, mais pourtant, elle était bien peu par rapport à l'odeur que dégageait le bois dans la cheminée, comme si on avait mixé du bois mouillé et les cendres d'un bois sec. Bref, James sembla la reconnaitre aussitôt, ce qui ne l'étonna pas le moins du monde. Tous avaient tendance à la reconnaître au son de sa voix. Cette voix qui lui était unique. Glamour. Sexy. Provocatrice. Charmeuse et tout ce que vous voudrez d'autre. Elle avait vraiment froid, malgré la chaleur que dégageait le feu qui brulait, plus haut que jamais dans la cheminée. Elle ne sentait presque plus ses pieds, comme si elle n'avait pas chaussé ses pantoufles. Un sourire au coin se dessina sur son visage à l'entente de la voix de James. Contrairement aux autres garçons, il était l'un des rares qui ne lui en avait pas en voulut après un soir de passion, car évidement, une conquête d'un soir reste une conquête d'un soir, et comme son nom l'indique, ça ne dure qu'une seule soirée. La plus part des garçons de Poudlard s'étaient fâchés avec elle parce qu'elle les avait plaqué le lendemain. En même temps, quesqu'ils croyaient? Corail avait la réputation de se taper les garçon une nuit uniquement et non pas à jamais, ça devenait lassant à force. Pourtant, il y avait une chose qu'elle aimait bien dans la drague.
Quoi? Ces regards engageant que lui lançaient tout ceux du sexe opposé dans les couloirs. Ces sifflements qui se faisaient entendre sur son passage. Le regard des filles jalouses de sa réputation de bombe
sexuelle. En pure modestie, lors des soirs volés avec les garçons, on lui a souvent annoncé, très sensuellement, qu'elle était le "sex
symbol" de poudlard.

- Effectivement je suis au courant que cela n’est pas bien, je te remercie de me l’avoir prise. Aurais-tu l’amabilité de la jeter s’il te plaît, et de me rejoindre, à mon avis tu aurais besoin de te réchauffer, car selon mon instinct tu dois sûrement être en petite nuisette ma belle Corail.

Ce qui était spécial chez son ami, c'était bien ça, le fait qu'ils étaient restés amis, malgré un soir. James, malgré sa réputation de tombeur, était qu'il était l'un des garçons les plus galants de poudlard. Malgré qu'il se soit fait toutes les filles de poudard, il avait toujours l'habitude de les plaquer avec galanterie. Un "Gentleman" dans le pur style british. Elle accepta volontiers sa proposition et fit le tour du fauteuil. D'un geste désinvolte, elle jeta au passage la cigarette presque consommée dans la cheminée qui l'avala sans reste. Et de sa démarche bien connue, elle se positionna devant James. Son sourire au coin, toujours visible. elle remarqua que James avait le même. D'un geste de tête, elle ramena une mèche de ses cheveux en arrière, pour faire apparaitre ses yeux bleus azure. Ses yeux étaient son arme de persuasion ultime, sa botte secrète en quelques sortes. Avec leur aide, elle pouvait mettre en confiance le plus méfiant de tous et se mettre dans la poche l'un des plus timides. Ce qu'avait affirmé James n'était pas faux, sa nuisette était en effet très légère et ne la protégeait pas d'un froid hivernal, et pourtant, elle aimait bien s'en vêtir, s'était un reflet de sa propre personnalité, à vous de savoir pourquoi.

Tu n'a pas faux, elle est en effet très légère, pourrais-tu me réchauffer?

Cette phrase était provocatrice. Et son geste involontaire réapparut, elle se mordit la lèvre inférieur d'un geste très sensuel, avant d'entourer James de ses bras en gardant ses yeux dans les siens. Un regard qui marchait à tout les coups. elle ne visait pas une nouvelle nuit en sa compagnie avec ce geste, mais qui ne tente rien n'a rien après tout. Ses yeux étaient agités d'une étrange lueur, qui dévoilait l'une de ses expression favorite. La provocation, le défi, et la malice. C'était ce regard qu'ele lui avait adressée lors de leur première rencontre.

Invité

On m’a souvent demandé pourquoi j’étais comme sa ?? Pourquoi j’étais aussi galant, aussi gentil envers les femmes ?? On me dit même que je suis un vrai « Gentleman ». Quand on me pose la question, je ne sais pas trop quoi répondre, car j’ai tout simplement été élevée ainsi, par respect pour le sexe opposée, savoir bien se comporter et parler. Certes, cela peut faire un peu vieux, mais sa à toujours autant d’effets sur les demoiselles, qui prennent cela pour une forme de respect et qui les envoûtent littéralement. Je ne me force pas à être comme sa, c’est naturel, et je pense que sans cette arme, je ne serai pas celui que je suis actuellement, le Sex Symbol, le Casanova, le Don Juan de Poudlard. J’ai pleins de petits surnoms comme sa, se sont les jeunes filles qui m’admirent qui me les donnent, je n’ai jamais protesté contre cela, je m’en moque un peu quelque part…
Mais d’un autre côté, cela m’amenait encore plus de conquête, parfois cela durait une nuit, une semaine, un mois… Le maximum a été battu par Pansy Parkinson, nous sommes sorti ensemble quatre mois, mais dans cette histoire on ne sait pas vraiment qui a quitté qui… Je m’accorde à dire que c’est moi, et elle dit que c’est elle qui est parti… En même temps celle-ci n’a pas tout à fait tort.

Bref de bavardage.
J’étais donc assis tranquillement devant le feu de cheminée qui me réchauffait, car la spécificité de notre Salle Commune et qu’elle est en dessous du Lac, donc il y fait assez froid, surtout la nuit et l’Hiver.
J’étais très peu habillé, mais je ne gelais pas, car je me trouvais très près du feu. Je fumais, cela me servait à passer le temps. Certains dirons que sa fait style Bad Boy, d’autre dirons que sa fait vulgaire. Moi je m’en fiche, fumer me fait du bien, sa me permet d’oublier mes problèmes. Mais je n’en suis pas accro, loin de là, je dois prendre une clope au moins une fois tous les deux mois…
La seule drogue à laquelle je ne peux pas lutter est les femmes, le sexe, la drague. J’aime sa, je ne pourrais plus vivre si aucunes filles ne s’intéressait à moi. Encore heureux qu’elles soient beaucoup à Poudlard.
Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai couché avec une demoiselle, dont je ne connaissais même pas le nom, et que je l’ai plaqué ensuite. Si je devais vous donnez un chiffre, vous risquerez de faire une grise cardiaque et de me dire que c’est impossible. Chez les Black rien n’est impossible !! Sa c’est une de mes devises.

La tranquillité dans laquelle je baignais depuis déjà une bonne demie heure, fus interrompue par des bruits de pas féminines, mon instinct de prédateur est tellement aiguisé que je sais reconnaître une fille à un mec rien que par les bruits de pas produit.
Cette dernière essaye de ne pas réveiller les autres qui dormait, et une fois dans la Salle Commune, elle mit du temps à voir que j’y étais. A mon avis, je devais la connaître, car l’intruse se dirigea vers moi. Quelques minutes après je sus que c’était Corail, une ancienne conquête qui est devenue une bonne amie. Je la reconnu à sa voix inimitable. La verte et argent me piqua ma cigarette et me répliqua que c’était mal de fumer, cela me fis sourire, je lui répondis qu’elle avait entièrement raison, et qu’elle serai aimable de la jeter, puis de me rejoindre pour sa réchauffer. Je la connaissais très bien, celle-ci n’est pas du genre à mettre un pantalon de pyjama et un pull pour avoir chaud, non elle préfère être en nuisette pour entendre se genre de choses.
Mon amie s’exécuta sans rien dire, sur le chemin elle jeta au feu ma clope, elle se mise devant moi, je leva doucement les yeux vers elle. En effet, cette nuisette là était très très légère, et très sexy… Je lui fis un petit sourire au coin en fixant avec intensité ses magnifiques yeux bleu azur de mes iris vert clair. Quand elle me demanda si je pouvais la réchauffer, je lui répondis avec galanterie et toujours le petit sourire au coin :

- Ce sera un honneur pour moi, magnifique demoiselle.

Cela la fit sourire, et elle s’assit sur moi quelques instants plus tard. Cela ne me surpris pas du tout de sa part. Elle mit ses bras autour de mon cou, je me laissai faire, et j’enroulai sa taille si fine de mes bras musclé en la positionnant assez bien pour qu’elle soit à l’aise. Nous nous fixâmes un long moment, ses yeux bleu azur étaient comme accrochés à mes iris vert clair. Quelques minutes après elle lâcha son regard et mis sa tête sur mon épaule, et elle commença à balader ses doigts sur mon torse, je lui chuchotai à l’oreille avec un ton assez charmeur :

- Toujours aussi charmante et séduisante, tu n’as pas changé…

Invité

Corail ne regrettait pas de s'être séparée de la solitude du dortoir
des filles pour descendre dans la salle commune. Cette dernière la
trouvait habituellement froide et inhospitalière, aujourd'hui, par
contre, on aurait dit qu'elle était baignée d'une chaleur accueillante,
un chaleur envoûtante, tout autant que celui qui la dégageait. James W.
Black. Il n'avait pas changé. Pendant l'instant où elle garda ses yeux
dans les siens, elle se souvint de leur première nuit ensemble.
D'habitude, Corail s'en vantait et ne s'en remémorait pas. Mais cette
nuit là en particulier, passée dans ses bras étaient inoubliable. Elle
ne savait pourquoi, mais James était différent des autres beaux
parleurs de Poudlard. Affreusement différent. Et c'était exactement ce
qu'avait attiré Corail chez lui. Celle-ci choisissait ses conquête avec
soin, le plus grand soin, de façon à ne pas le regretter le lendemain.
Si on lui avait proposé de revivre l'une d'elle, c'était indéniablement
la soirée avec James qu'elle aurait choisit. Après avoir entendu la réponse de la jeune fille, James accepta volontiers.

De sa démarche, toujours aussi sensuelle, Corail vint de poser sur les genoux de son ancienne conquête. En soutenant toujours son regard bleue dans les yeux de James, cette dernière le vit entourer sa taille de ses bras, des bras protecteur que Corail ne voulais certainement pas quitter. Il y a un proverbe qui dit "Ne plonge pas trop profondément dans les yeux bleus d'un garçon, car tu pourra facilement t'y noyer" C'était le cas de corail, mais dans le sens inverse. Plus les garçons plongeaient dans ses yeux bleus azure, plus ils s'y noyaient, tellement il étaient envoutants, irrésistibles. Après ces quelques contemplations, elle quitta son regard vert clair pour venir poser sa chevelure brune sur les épaules musclées de James. C'était une autre des qualités de son ami. Un corps d'athlète, ce n'était pas surprenant, avec le sport qu'il pratiquait chaque soir, si vous voyez ce que je sous-entends.

Et alors, sa main douce vint explorer le torse de James. Caressant les moindres recoin de ce qui était certainement la partie la plus musclée chez lui. Il se laissait faire, ne ripostant pas, ne l'interrompant pas, et c'était justement à ça que s'attendait Corail. Sans arrêter ses caresse incessante, elle décolla légèrement sa tête de son emplacement pour venir murmurer à l'oreille de son ami. De la même voix qu'elle l'avait abordé quelque minutes plus tard.

Voyons voir si tu me connais assez bien...pour savoir ce que je veux...

Elle ponctua sa remarque d'un clin d'œil provocant. Étape par étape et longuement. James se laissait faire par toutes les belles filles de Poudlard à n'importe quel moment. Corail le savait. ça agissait comme quelque chose d'indispensable pour lui, comme le sang qui courait dans ses veines. Alors, il ne refuserait certainement pas de se laisser faire par la bombe sexuelle du château.

Invité

Corail s’était donc assise sur moi, cela ne me gêna pas du tout, je suis loin d’être coincé et timide envers les demoiselles, au contraire, mon point faible se sont ces dames. Je ne peux que très rarement refusé quelque chose à une jeune femme, j’essaye d’éviter de me faire manipuler par elles, mais c’est un exercice très compliqué…
La verte et argent est la seule après Pansy, à voir qui je suis vraiment, les vraies sentiment que j’éprouve, elles savent lire en moi comme dans un livre, ce qui est un atout quand on veut quelque chose de moi.
Surtout que celle-ci s’avait très bien que je ne voulais qu’une relation amicale, je le lui avais bien précisé lendemain de nos acrobaties. Mais maintenant que je la connais mieux, je sais qu’elle est têtue, et qu’elle ignore les règles… Tout comme moi d’ailleurs…
J’avoue que la soirée que nous avions passé tous les deux avait été plus qu’érotique, c’était un moment magique, le meilleur que je n’avais jamais passé. Elle savait s’y prendre, sa réputation avait dit vraie, c’était une experte. Je me souviendrais toujours de cette nuit plus que passionné et sensuelle.
Rien que de d’avoir son corps collé aux miens, ses souvenirs revenaient d’outre tombe, et me donnaient envie de lui sauter dessus comme un félin sur sa proie si innocente… Enfin, Corail innocente ?? Faut vraiment être aveugle.

La Serpentard mis ses bras autour de mon cou, je pris sa taille entre mes bras musclé. Si quelqu’un nous voyaient et que nous lui expliquions que j’essayais de la réchauffer, le gars nous prendrais pour des vrais menteurs. Et pourtant c’était vraiment le premier but de cette position disons assez hot…
Nous restâmes un long moment à fixer les yeux de l’autre sans dire un mot, ses yeux étaient magnifiques, ils me rappelaient le bleu du ciel les journée d’été très chaude où il n’y a aucun nuages. Splendide !!
Au bout d’un long moment de contemplation, Corail détacha son regard du mien et posa sa tête sur mon épaule. Je ne dis pas un mot, puis elle commença à balader ses doigts sur mon torse, sur mes muscles, grâce au Quidditch et à ma Gymnastique Rythmique tous les soirs j’ai un corps de rêve que beaucoup de gars m’envient. Je la laissai faire, car mine de rien, cela me détendait quelque peu, et j’arrivai à mieux oublier mes problèmes avec Amanda et Pansy en compagnie de la demoiselle que quand je fumais… Bizarre, non ??

Pour lui faire plaisir, je lui murmurai à l’oreille qu’elle était toujours aussi charmante et séduisante, elle n’avait pas changé depuis cette fameuse nuit. En même cela remontait à un an je crois bien, avant que je sorte avec Pansy, donc un an et quelques mois. Son corps était toujours aussi fin et parfait, son visage et surtout ses yeux toujours aussi envoûtant. Je ne sais pas vraiment quel genre de sentiment j’éprouve pour elle, en tout cas je sais que je l’adore, qu’elle met indispensable. De l’amour ?? Non, jamais !! Mon cœur a déjà été tranché en deux pour ma fiancée et ma meilleure amie. Désir sexuel ?? Peut être… Autres ?? Si seulement c’était si simple de cocher cette case…
Après ma remarque qui est plus que sincère, Corail continua encore à caresser et parcourir mon torse musclé de ses doigts fins.
Puis, elle me murmura à son tour d’un ton très aguicheur, et d’une voix sensuelle. Elle me répliqua que si je la connaissais si bien, je devais savoir ce qu’elle voulait. Je le savais déjà, pas besoin de cette remarque, pas besoin de dessin, je connais le mode d’emploie pas cœur. Je fais cela depuis ma cinquième année, les copines d’un soir… Mais bizarrement, je voulais plus… Je chassai vite cette idée complètement stupide de ma tête.
Je fis un sourire intéressé, tourna mon visage, le mien était à seulement quelques centimètres de celui de Corail, je caressa sa joue avec tendresse et lui susurra :

- Pas besoin d’être ton ami pour savoir se que tu souhaite....
Et toi, sais-tu ce que j’ai envie là tout de suite ??
On va voir si tu me connais bien…

Question piège, et je savais très bien qu’elle allait se tromper, de toute façon il n’y a que Anna qui me connaît par cœur, sa ne serai qu’elle qui serait répondre parfaitement à ma question dans une telle situation. Corail avait 100% de chance de se tromper, et sa j’en étais sûr et certain.

Invité

Corail était assise sur James, ils parlaient doucement, non pas pour ne pas réveiller les autres, les autres, ils s'en fichaient pas mal, c'était le beau milieu de la nuit, et ils n'avaient vraiment pas envie que l'un des boulets-en-chef ne viennent leur casser la tête avec les règles nécessaires au comportement avec le sexe opposé. Corail était une spécialiste quand il s'agissait d'exciter les garçons, rien qu'avec son physique et ses yeux bleus azure, mais elle pouvait aller bien loin...plus loin encore. Elle aimait bien jouer avec la nourriture avant de la manger. Pourquoi ne pas s'amuser un peu? ça lui rappelait un peu les jeux qu'ils s'étaient mit en règles avant leur première nuit. C'était assez amusement, rigolo même, Corail avait bien fait tourner en bourrique James, mais à la fin, il l'avait eu sa nuit en sa compagnie. Pourquoi ne pas recommencer, s'amuser une nouvelle fois.

Il aborda un sourire intéressé, puis tourna la tête vers Corail. Leurs lèvres n'étaient qu'à quelques millimètres l'une de l'autre, excitant. Très Excitant. Pourtant, contre tout attente, Corail ne s'empara pas d'elle. A quelques centimètres des lèvres de James, elle avança son visage encore un peu, comme pour l'embrasser mais à la place, elle s'adressa à lui. Comme pour le torturer. Elle savait bien que James ne résisterai pas à ses lèvres pulpeuses.

Laisse moi réfléchir...

Elle ne cherchait pas la réponse, loin de là. Elle allait le torturer un peu. Oui. Histoire de mettre une bonne ambiance, et dans ce domaine; elle était imbattable, essayez un peu de lui résister et vous verrez ce que vous endurerez! Elle tourna son visage vers le feu, se mordant une nouvelle fois la lèvre inférieur, puis d'un geste désinvolte de tête, ramena une mèche en arrière. Son sourire se transforma en un sourire coquin. Elle cessa ses caresses sur le torse de James. Puis ramena l'une de ses jambes contre elle, de façon à remonter encore plus sa robe déjà très courte. Mais l'essentiel était toujours et à peine caché;

Elle s'appuya sur sa jambe, le menton sur les main, en fixant de nouveau James. Ce n'était qu'une question de temps et de tentation. ça n'allait surement pas durer longtemps. C'était vrai que ce n'était absolument pas dur de deviner ce que voulait Corail. ça crevait les yeux. Son regard avait reprit cet éclat envoutant, tentant, défiant tout obstacle. Et ce dernier en disait long sur ce qu'elle pensait. il était agité d'une sorte de malice qui voulait dire "Alors? Quesque tu attends?".

Invité

Cet instant était si magique et sensuel à la fois, nos corps étaient l’un contre l’autre, nos visages à quelques centimètres mais nos lèvres ne se touchaient pas. J’aurai voulu que se moment dure éternellement.
Cela me rappela énormément notre première rencontre, le premier flirte, les regards si intenses qui en disait tellement longs, ses baisers volés par si par là dans des endroits tranquilles, dans les couloirs et la Salle Commune. Cette histoire avait été assez bizarre mais palpitantes, cela m’amusait de jouer avec elle, j’essayais toujours de la surprendre pour la plaquer délicatement contre un mur et l’embrasser langoureusement, en faufilant mes mains un peu partout. Cela aurait pus duré, mais à force cela nous lassait tous les deux, et un soir où je ne m’y attendait pas du tout, Corail c’était ramené dans mon dortoir, en tenue très très très légère et presque transparente.
Nous fînmes l’amour comme deux bêtes sauvages, une vraie tigresse cette fille pour mon plus grand plaisir. Je ne sais plus combien de temps sa à exactement duré, mais je me souviendrais toujours de ce que nous avions fait et la plaisir que cela m’avait procuré. C’était la première fois que j’avais ressenti un tel sentiment pour une conquête d’un soir. Je mis plusieurs heures à mettre de l’ordre dans mes idées, devrais-je continuer avec elle ?? Ou plutôt tout arrêté ?? Il me sembla plus sage de rompre, mais nous restâmes tout de même de bons amis, assez proches qui aiment bien le contact physique avec l’autre, mais des amis tout de même.

Je revins au moment présent, je venais de demander à la belle verte et argente si elle savait ce que moi je souhaitais d’elle. Et comme je l’avais prévue, cette dernière répondit mal. Je la connais, le sexe est presque l’une de ses principales priorités dans la viens Corail crut donc que je voulais me jeter sur elle, en même temps une partie de moi voulais sa… Alors, comme pour me contrarier, elle ne fit pas le premier pas, ce devait être à moi de le faire, elle essaya donc de me tenter. Et en effet, l’adolescente connaît par cœur le mode d’emploie pour me faire craquer. Son visage se rapprocha du mien, nos têtes se touchaient, mais pas les lèvres qui étaient maintenant à quelques décimètres l’une de l’autre. Elle s’installa encore plus confortablement, et releva sa nuisette déjà très courte…
Je lui fis un sourire satisfait, mais je la fixai toujours autant, je murmura rien que pour nous deux, d’une voix sensuelle :

- Effectivement, très charmante…

Ma main droite commença à caresser une de ses jambes, en remontant tout doucement, sa peau était tellement douce… Mon autre main prit le menton de la jeune fille avec délicatesse et rapprocha ses lèvres pulpeuses des miennes. Ces dernières eurent seulement le temps de se frôler que j’entendis un bruit de pas dans les dortoirs, les escaliers grincèrent, et quelqu’un rigola froidement, et parla d’une voix forte :

- Je le savais que t’étais une vraie p*t* Corail, j’espère au moins que t’es bien payé par lui ??!!
De toute façon les Black peuvent tout s’offrir, même les filles de bas étage comme toi !!

Je lâcha avec douceur mon amie, et en quelques secondes j’étais debout à côté du fauteuil où se trouvait la demoiselle. Mes yeux le fusillèrent, c’était un gars de Septième année qui m’avait toujours envié mais qui me cherchait souvent des noises, je le voyais souvent en train d’embêter ma sœur et de draguer Amanda, Pansy et parfois Corail si présente. Mes yeux reflétèrent toute la haine que se gars m’inspirais, et en seulement quelque secondes je pointa ma baguette vers lui et lança un sortilège :

- AVADA…
Stupéfix !!

Je m’étais rattraper, car sinon j’aurai lancer le sortilège de la mort, impardonnable. Certes je l’avais déjà utiliser une fois, et sa ne me faisait pas peur de le renouveler, mais Corail se trouvait là et je ne voulais pas qu’elle devine que je suis un Mangemort… Cela risquerais de toute cassé entre nous.
Je m’avança vers le gars devenu une statue, et lui dit d’une voix haineuse :

- La prochaine fois que tu oses l’insulter sa risque de très mal se passer pour ta p’tite gueule.
N’envie pas ce qu’on les autres, de toutes façon tu ne pourra jamais avoir une aussi belle femme d’exception qu’est Corail, tu peux seulement de contenter de l’admirer et encore…

Puis, j’utilisa le sortilège de lévitation, et le ramena dans sa chambre, puis j’essaya avec beaucoup de difficultés d’effacer ce qu’il avait vus, ma mère m’avait appris sa, mais je ne réussi qu’a enlevé le passage du « combat », il n’oubliera pas ce qu’il avait vus entre moi et la Serpentard.
Puis, je revins vers la demoiselle, regagna ma place, et lui susurra à l’oreille :

- Où en étions-nous déjà ??

Invité

Corail était ainsi assise, avec la nuisette presque
entièrement remontée sur ses jambes. Un sourire provocateur au coin. Elle
abordait un regard...défiant toute rivalité il fallait dire! Elle s'apprêtait à
répondre à la réponse de James, quand des sons de pas dans les escaliers la
firent sursauter. Elle fit redescendre rapidement sa nuisette, juste à temps
pour voir apparaitre, en bas des escaliers, un Serpentard qu'elle connaissait
bien. Ou semblait connaitre. Celui là en précis, elle le détestait! Il
n'arrêtait pas de lui tourner autour comme une glue! depuis le jour où elle
avait refusé son offre, il n'arrêta pas de harceler, et depuis, elle le
détestait. En plus il était moche, avec une haleine de chien! Non mais! comment
il pouvait rêver que Corail lèverait les yeux sur lui! il s'est déjà vu dans un
miroir déjà? Un vrai épouvantard ambulant. Non seulement son apparence laisse à
désirer, mais ce qu'il dit par la suite figea Corail d'horreur.

Comment osait-il? Quel Culot? L'insulter? Non mais! c'est un vrai débile mental
celui là. Elle ne lui avait rien fait pour mériter ça. Ou du moins, pas encore.
Elle voulut riposter, mais James fut plus rapide qu'elle. A peine elle bondit
par terre, qu'il avait déjà sortit sa baguette. Il se leva, en l'agitant d'un
geste menaçant vers l'insolant. Elle crut qu'il n'oserait pas jeter un sort à
quelqu'un juste pour la défendre, mais elle il s'avéra que sa supposition était
fausse.Au lieu de se contenter de le menacer, il l'attaqua pour de vrai.
Corail, dont le sourire s'était effacé quelques minutes plus tôt, le retrouva
aussitôt. Elle était contente d'avoir fait de l'effet à James. Sinon pourquoi
l'aurait-il défendu. en même temps, c'était son amie...Elle ne savait quoi penser
en ce moment là, mais elle sentait une vague d'affection envers celui qu'elle
considérait jusque là comme son ami...Serait-il bien plus pour elle?

Elle le vit se diriger vers le serpentard, mais à ce moment là, où il voulut
jeter le sort, elle aurait juré qu'il avait prononcé un "Avada
Kedavra" inachevé. Mais non! bien qu'il soit fort en duel, il ne jetterai
certainement pas un sortilège impardonnable, il était bien trop intelligent
pour ça. Mais, elle était tellement sure de l'avoir entendu! Mais
non arrête Corail, c'est surement la haine que tu éprouve envers ce vermisseau
qui t'a fait croire ça. Oui. surement. que croire d'autre? Elle le vit, après
avoir stupéfixié sa victime, lui parler d'une voix qui trahissait une fureur et
une colère grandissante. Et d'un voix des plus menaçantes que Corail ne lui
avait jamais entendu, il menaça le jeune homme.

- La prochaine fois que tu oses l’insulter sa
risque de très mal se passer pour ta p’tite gueule.
N’envie pas ce qu’on les autres, de toutes façon tu ne pourra jamais
avoir une aussi belle femme d’exception qu’est Corail, tu peux seulement de
contenter de l’admirer et encore…

Corail en était raide de surprise. Quoi? Prendre sa défense en
jetant un sort et en plus, défier l'autre d'oser insulter la jeune serpentarde
une nouvelle fois. Les rumeurs ne se trompaient vraiment pas. C'était un vrai
gentleman! que dire de plus qu'elle était comblée. Elle ne s'était donc pas trompée sur son compte. Non pas qu'elle n'était pas capable de tenir tête à l'autre déglingué, mais elle en était tellement surprise que sa réaction se fit attendre. elle le vit le faire léviter jusque dans le dortoir des garçons, puis revenir quelques minutes plus tard. il se rassit au même endroit, comme si de rien n'était, comme si rien ne s'était passé. Il se tourna à nouveau vers Corail, en lui demandant où ils en étaient. Cette dernière effaça immédiatement de son visage l'expression de stupeur, et son habituelle lueur malicieuse et coquine à la fois. elle reprit sa position initiale. Elle se rapprocha de nouveau vers lui, lui susurrant à l'oreille d'une voix plus sexy que jamais.

Je ne me souviens pas en fait, tu pourrai me le rappeler?...Au fait, thank you.

Elle se mordit à nouveau la lèvre inférieur mais cette fois, volontairement, c'était exprès au fait. C'était très rare d'entendre un remerciement de la part de Corail. Mais là, c'était totalement différent. non seulement James était son ami, mais en plus, ce qu'il avait fait était...très....Galant? ça reste à voir, mais en tout cas, il méritait bien plus.

» Abscence longue et indéterminée
» La vérité n'est qu'un gros mensonge [PV Corail Deverist]
» Le Seigneur des Ténèbres recrute... [PV Corail] {TERMINE}

La nuit sera très longue || PV Corail //!\\

La nuit sera très longue || PV Corail //!\\

Sujets similaires

Sujets similaires