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Sujet: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi. Mar 13 Aoû 2013, 01:30
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Eithan Cannon Jones Macmillan
ft. Heath Ledger, r.i.p.
Carte d'identité:
Nom :
Jones est le nom de jeune fille de ma mère, elle est d'origine Américaine. Macmillan est celui de mon père, vous l'aurez deviné.
Prénoms :
Eithan est le nom qu'utilise ma famille pour me parler ou me sermonner. Cannon était celui que je préfèrais entendre venant de mes amis et de mon entourage à l'école. Maintenant les deux m'importent peu même si je favorise largement le second. De toute manière, en tant que professeur maintenant c'est Macmillan qui est le plus important.
Date de naissance :
trente et un octobre mille neuf cent quarante cinq.
Lieu de naissance :
le vieux manoir terrifiant de mon grand-père à Londres
Âge :
Trente et un ans, c'est mon année chanceuse !
Année ou Métier :
J'aimerais avoir l'honneur d'être le magnifique professeur de botanique
Situation Civile :
Hélas, j'ai comme femme une Black dénuée du sens de l'humour requis face à mes bonnes blagues. Mariage arrangé depuis ma tendre enfance afin de préserver la précieuse pureté de notre sang de ces sang-de-bourbe indignes. Un vrai bonheur, je vous l'assure. Par chance que j'ai une petite fille qui retient de son papa pour encourager mes farces.
Pureté du sang :
Sang pur si je puis me le permettre, Macmillan étant une famille reconnue et les Jones des Amériques ont assez prouvés de leur pureté.
Baguette :
Ma baguette est en bois de pin, plutôt rigide, longue d'environs 25.7 centimètre et elle possède comme coeur un ventricule de coeur de dragon.
Epouvantard :
Le corps de ma fille gisant sur le sol.
Patronus :
Un ours majestueux et magnifique, une belle bête mais il a tendance à bouder et avoir des réticences à apparaitre.
Animal de compagnie :
Un hibou Grand Duc aux plumes magnifiques que j'appelle affectueusement Plumeau.
Don particulier:
Aucun sauf une témérité légendaire.
Faction :
J'avoue avoir un penchant non-dissimulé pour le Seigneur des Ténèbres sans toutefois le crier haut et fort sur tous les toits. Je garde une certaine discrétion mais c'est reconnu que ma famille adorons ce mage noir.
Autres informations:
Caractère
Vous savez quand on est gosse, on se fait souvent croire que rien ne nous fait peur et on explore n'importe quel endroit, on fait n'importe quoi et ça finit souvent avec de gros ennuis. J'ai toujours été ce genre là, doté d'une témérité sans fin et unique, je trouvais toujours le moyen de m'aventurer là où il ne fallait pas sans craindre les ennuis. Il faut dire que la curiosité s'allie souvent à mon intrépidité et qu'il vaudrait mieux m'abstenir quelque fois. Aujourd'hui, début trentaine, j'avoue qu'une partie de ma témérité et de ma curiosité ne m'ont pas quittés mais j'essaie d'être plus sage et sérieux. Il y a des choses dont il vaut mieux rester ignorant et il faut savoir s'assagir. Bon, ma femme aurait pu le faire elle-même mais c'est plutôt froid nous deux.
Comme ma soeur, ma femme ne sait pas reconnaitre et rire de mes formidables blagues et aventures. Elle ne comprend toujours pas le sens de l'humour qui m'habite et qui me pousse à vouloir faire rire les gens. Quand j'étais jeune, je faisais tout pour que l'on rit de mes coups et avoir l'attention pour moi seul. J'adorais me donner en spectacle car j'aime faire rire les gens surtout quand ils sont malheureux. Aujourd'hui, je calme l'envie d'avoir l'attention sur moi en étant prof et pour l'irrépressible tentation de faire rire mes sujets... c'est encore à discuter. Je crois que je suis un grand gamin qui refuse de vieillir et qui essaie de s'assagir sans jamais réussir. Et puis, j'ai une petite fille maintenant qui est à l'âge parfait pour être la victime de mes blagues et de mes farces contre elle, je crois qu'elle est ma plus grande admiratrice.
Oh, j'étais un grand séducteur et j'avais le pouvoir avec les mots. Pendant mes études à Poudlard, je m'entourais sans cesse de mes meilleurs amis, ce que ma soeur nommait ma "clique", et j'essayais d'attirer l'attention de plusieurs filles. Vous savez, l'adolescence et les hormones. Maintenant que je suis, hélas, marié, j'ai fait taire à grand regret ce côté séducteur même si parfois mon horrible femme vaudrait le coup d'être larguer seulement par respect pour ma petite fille que je ne veux pas voir grandir séparé de ses parents. Bref, très long à expliquer. Pour ce qui est du pouvoir avec les mots, pas que je manipule les gens loin de là mes intentions! Seulement, quand je me mets à raconter quelque chose, matière importante ou aventure quelconque, les gens se suspendent à mes lèvres mais cette sensation me fait souvent peur car, j'avoue être légèrement égocentrique, je déteste avoir l'impression de couper l'herbe sous les pieds de l'interlocuteur avec qui je débats.
On ne me dit pas très intelligent mais très travaillant. Mon intelligence a tendance à se cacher quand ma témérité prend place et parfois ça finit mal. Et mon cerveau me lâche souvent dans les cours alors je me rattrape en étudiant beaucoup et sans relâche. On disait toujours que j'aurais dû être placé à Serdaigle, comme toute ma famille, mais je le sais, le courage qui m'anime et mon intrépidité m'ont fait un réel Gryffondor.
Il m'arrive parfois de ne faire qu'à ma tête et d'être colérique, je déteste quand on s'obstine à me dire que j'ai tort de faire tel ou tel truc ou alors que je ne devrais pas agir de la sorte. J'ai toujours adoré faire à ma façon et comme je le voyais et même si les résultats n'ont pas toujours été ce qui est attendus, ça m'a fait grandir car c'était mes expériences personnelles. C'est toujours comme ça que je devais agir, selon mon père.
Notes aux Buses et Aspics si adulte
Astronomie : T - Piètre Botanique : O - Optimal Défense contre les forces du mal : A - Effort Exceptionnel Histoire de la magie : P - Acceptable Métamorphoses : O - Effort Exceptionnel Potions : A - Effort Exceptionnel Sortilèges : E - Optimal Soins aux créatures magiques : E - Optimal Divination : D - Troll
A propos de moi:
Sur le web ou dans la vie IRL on me connait sous le nom de Meàllouu . J'ai choisi d'utiliser Heath Ledger comme personnalité et ne souhaite pas de doublon d'avatar. J'ai connu Levicorpus grâce à dcet mon impression est qu'il est . Je ne suis pas en internat. Je ne souhaite pas être parrainée. Et étant bien en règle, je peux vous dire que le code du règlement est très bon mon chou
Depuis plusieurs générations, la femme enceinte mariée à un homme Macmillan accouche dans le vieux manoir familiale, toutes sans exception. Et c'est ainsi que madame Jones se retrouva malgré elle à donner naissance difficilement pour la deuxième fois loin des soins prodigieux de Sainte-Mangouste. Oh, il y avait bien un médicomage mais elle aurait tout de même préféré le confort de l'hôpital à celui peu chaleureux de ce bâtiment lugubre. C'est ainsi que je naquis en cette froide nuit d'Halloween, tout près de l'aube, le 31 octobre de l'année 1945.
Quelques années après, je deviens l'exaspération et le découragement total de ma famille, qui malgré son degré de sévérité élevé, me laisse libre d'expérimenté quelques trucs. On apprend de nos erreurs comme on dit. Ils me laissaient tranquille tant et aussi longtemps que je ne m’approchais jamais d'un moldu. Plutôt paranoïaque comme condition puisque les hommes de la famille renouvèle à tout bout de champ le sortilège qui fait passer notre joli manoir en un tas de ruine qui menace de s'envoler avec le vent. Ma soeur fut ma cible préférée pour faire des blagues, elle me détestait car je ne la lâchais pas une seule seconde. Elle a un an de plus que moi, quand j'ai découvert mes pouvoirs, je l'ai littéralement expédié de l'autre côté de la pièce car elle m'avait poussé. J'ai donc voulu faire de même sans savoir les conséquences que ça amènerait. Par contre, je n'ai pas été sermonner avec l'habituel soupir d'exaspération de mon père en lâchant un "Eithan". Non, j'ai eu le droit à des exclamations de joie, des cadeaux puis plusieurs affreux bouquins volumineux sur un tas de truc magique. Je dois avouer que lors de leur lecture, j'ai été surpris d'apprendre des choses intéressantes. Il y avait là une quantité de créatures magiques dont plusieurs étaient fortement utiles pour des potions et guérir et même des plantes ! J'ai parcouru le terrain à la recherche de quelques unes sans jamais en trouver une seule. Je pensais déjà avoir appris pleins de chose, comme mes parents ont une pureté indiscutable mais ceux-ci se contentent de me tenir éloigné des exécrables moldus et de tenter de me placer sur la bonne rail pour une vie déjà toute tracée d'avance !
Je crois que je continue de les décevoir depuis mon entrée à Poudlard, mes parents ayant probablement beaucoup regrettés de ne pas m'avoir envoyé à Durmstrang, quitte à laisser Londres derrière nous, j'aurais peut-être été plus sage. Le jour où je tentais de faire une blague plutôt humiliante à la soeurette de mon coeur, je crois qu'elle commençait a me trouver horripilant à la longue et qu'elle avait bien hâte d'aller à Poudlard pour se débarrasser de moi, une monstruosité vêtu d'un chiffon fort en décomposition m'est apparue. Son apparition spontanée m'a fait bondir dans les airs, le coeur battant, alors que la chose se répandait en excuses de toutes sortes en pleurnichant qu'elle ne voulait pas effrayer son maître. Je l'ai formidablement ignoré, dégouté, pour retourner à ma farce. Voyant qu'il me suivait partout où j'allais, ce qui était fort irritant, j'ai finis par le prendre par une de ses affreuses et longues oreilles poilues, le soulever du sol et le montrer furieusement à mes parents, quelques étages plus bas du grand manoir. « Qu'est-ce que c'est que ça ?! » - C'est un elfe de maison, Eithan. » répliqua abasourdie et confuse ma mère. « Je sais ce que c'est ! Il me suit tout le temps, vous m'espionnez ? S'il continue de me coller partout où je vais, je lui fous une fichue chausset...» - EITHAN! Franchement ! Cet elfe fera tout ce que tu lui diras de faire, tu ne le veux pas dans tes jambes alors dis-lui d'aller ailleurs, c'est tout, comme moi! » Ma soeur était offusquée par mes propos. Mon père était resté silencieux et d'une certaine manière, c'était mieux ainsi. Si j'avais ne serait-ce qu'un peu réveiller sa colère avec mon sempiternel agissement d’opprobre à cette famille, je crois que j'aurais été dans la même situation que l'elfe que je tenais pas l'oreille. C'est peut-être pour cela qu'il a voulu me marier à une Black, afin qu'elle me secoue et me remette en place, m'assagisse et fasse de moi le parfait petit Macmillan que mon père a toujours souhaité que je sois. Bref, l'elfe de maison, je l'ai gardé mais lui ai fortement ordonné de ne point me déranger inutilement. Je lui ai même proposer d'aller embêter mes parents, voir si Ellie, leur elfe, n'avait pas besoin d'un coup de main, du coup, ils se sont retrouvés avec deux elfes de maison sur les talons.
Poudlard
Alors que je m'étais avancé avec plein d'enthousiasme pour poser mon derrière sur le tabouret et recevoir le Choixpeau, pas si vieux à cette époque, sur ma tête, j'ai couvert ma famille de honte lorsque je fus envoyé à Gryffondor. C'était bien une première. Alors que la plupart se retrouvaient à Serpentard ou Serdaigle, j'étais le rejeton envoyé chez les rouges. Au début, je n'ai pas vraiment eu l'impact des conséquences, ce n'est que pendant les vacances de Noël que j'ai remarqué l'attitude différente de mes parents envers moi. Après leur avoir posé la question, mon père a répondu que j'avais eu l'affront de choisir Gryffondor alors que j'aurais dû aller à Serdaigle comme ma soeur et ma mère ou alors suivre sa voie et finir chez les verts. Je ne pouvais pas croire qu'il rejetait toute la faute sur moi alors que j'avais que poser mes fesses sur ce foutu tabouret pour attendre que le chapeau me fouille le cerveau. Je trouvais son attitude franchement injuste et il en ajouta une couche en me disant qu'aucune femme Black ne voudrait me prendre comme mari. Je n'ai jamais compris son obsession d'aller me marier à cette famille, étant lui même marié à une américaine qui a déménager en Angleterre avant son entrée à Poudlard.
Malgré tout, je me fais une réputation assez facilement, le petit Macmillan Gryffon qui fait des blagues et qui accepte des paris en tout genre. Je répugnais ma soeur, elle était exaspérée de mon agissement et chaque fois qu'elle me croisait avec ma clique, elle affectait de m'ignorer et de ne pas me connaître. Elle me laissait faire, elle n'intervenait jamais, ma soeur est toujours restée soit spectatrice ou victime dans mes blagues et conneries qui selon elle n'était absolument pas désopilantes. Que si je faisais tout ça c'était dans le but d'avoir l'attention sur moi et que je voulais plaire aux autres. Elle touche juste la soeurette, j'ai toujours adoré avoir l'attention pour moi seul et savoir les gens à mes pieds quand je leur raconte une anecdote. Je n'ai jamais caché aux autres mon talent exceptionnel pour la botanique avec toutes ses fleurs tantôt magnifiques tantôt foutrement dangereuses, d'autres complètement pourvues de vertues médicinales franchement formidables ! Je réussissais dans cette matière en claquant des doigts et j'adorais bien narguer ma soeur qui l'échouait pitoyablement.
Le cours de Soins aux Créatures Magiques, choisi lors de ma troisième année, devient ma matière préférée et ce même aujourd'hui. Les créatures magiques démontrés pendant les cours étaient simplement fascinante et j'avais un enthousiasme sans pareil pour eux même si la créature s'avérait horrible et laide. Le cours de Divination devient ma salle de spectacle car chaque désopilante prédiction de la professeur sur l'avenir d'un élève s'avérait tordante et improbable. Alors je ne tenais pas ma langue. Après quelques temps, je passais les cours chez ce bon vieux Rusard, menotté au mur et à rire de ce qu'il pouvait bien m'infliger, la professeur ne pouvant plus tolérer mon arrogance et mes blagues. Comme elle est dénouée d'humour et pleine de dramatisme !
Quand le sujet des loup-garous fit son apparition dans le cours de Défense contre les forces du mal, au début, je n'ai pu m'empêcher d'imiter leur hurlement pour faire rigoler la classe un peu, puis j'ai été absorbé par les informations qu'on y donnait. Par la suite, j'en fut obsédé, je voulais en voir un à tout pris, même peut-être en devenir un. C'était ahurissant. Bon, je suis peut-être fou mais vous savez, les familles de sang-pur, il n'y en a pas des centaines alors la consanguinité peu se faire ressentir à tout moment. Genre moi.
Lors de ma sixième année, on m'a lancé le défi le plus stupide que j'ai jamais fait. Bon, à l'époque je ne le trouvais pas aussi stupide, je trouvais ça plutôt comme un moyen formidable pour attirer l'attention et, je ne sais pas, peut-être prouver un quelconque truc d'adolescent débile. Je devais passer une nuit dans la forêt interdite, oh mais pas n'importe quelle nuit, mes copains ont mit la barre haute, une nuit de pleine lune. J'ai tout de suite accepté, voyant là un parfait alibis pour enfin rencontrer un loup-garou, si loup-garou il y avait dans cette forêt. Alors après un cours de soins aux créatures magiques, le dernier que j'avais dans la journée, je me suis caché dans la forêt subtilement. Beaucoup plus simple que de rentrer dans le château et monter dans son dortoir, étant un Gryffondor, il fallait redescendre les six étages incognito? Non merci, je ne voulais pas me faire pincer par Rusard ou, pire encore, ma chère préfète en chef de soeur.
Alors que la nuit était tombé et que la pleine lune avait poussé le soleil de son trône, je m'étais assis au pied d'un arbre en fredonnant une chanson et en arrachant quelques brins d'herbes. Je n'avais pas pu manger dans la Grande Salle ce soir et j'avais une de ses faims ! Une faim de loup sans mauvais jeu de mots. Et l'attente était interminable, un hibou ne cessait de hululer inlassablement et j'avais vraiment envie de lui envoyer un caillou par la tête. Après plusieurs heures, un mouvement se fit entendre très loin devant moi. J'avais relevé la tête pour voir de quoi il s'agissait quand un grognement canin près de moi me fit sursauter. La bête contourna le gros arbre où j'étais adossé et posa ses yeux déments vers moi, il renifla puis laissa entrevoir ses dents acérés toutes baveuses. Des sortilèges le frappèrent de plein fouet et il disparu de ma vue, projeté par l'impact des sorts dont j'imagine être Everte Statum. Mon nom retentit et je me relève rapidement, ma soeur et deux de mes amis me rejoignent et ils m’empressant de quitter la forêt au plus vite. Le loup-garou ne tardera pas à nous rejoindre alors je les suis sans discuter. Ma soeur lui lance un sort que je ne connais pas, probablement un de septième année ou quelque chose qu'elle a lu dans un quelconque bouquin et celui-ci se retrouve ligoter et ne tarde pas à tomber sur le sol de la forêt interdite, incapable de bouger. Depuis cette aventure, ma soeur me traite de fou et d'imbécile et de stupide, enfin tous les noms que vous avez en tête. Elle n'arrête pas de me dire que j'aurais pu y perdre la vie, que j'aurais pu devenir un loup-garou et m'explique que j'aurais encore plus couvert d'opprobre ma famille.
Elle refusa de me parler pendant un mois. Elle affectait de m'ignorer complètement. Personne à part mes deux meilleurs amis, elle et moi, entendit parler de ce qui c'était passé dans cette forêt, ma soeur y a grandement veillé. Quand elle avait croisé le préfet en chef, elle lui avait dit qu'elle nous reconduisait au dortoir après nous avoir vu fouiner dans le parc et qu'elle nous enlèverait des points.
Je suis sorti de Poudlard avec un nombre satisfaisant de BUSEs et d'ASPIC, en fait, j'ai tellement travaillé pour les obtenir que je méritais amplement de les obtenir. Néanmoins, je n'avais pas encore une parfaite idée du métier que je souhaitais décrocher. Médicommage m'était accessible mais je ne souhaitais pas guérir les gens. J'ai réalisé plus tard que je souhaitais travailler avec les plantes, le plus grand des grands désarrois de ma famille. Alors je me suis dit que je serai prof de botanique, mais pas immédiatement, je n'ai pas vraiment d'expériences autres que celles de Poudlard alors je visiterai la Grande-Bretagne, question de faire des découvertes formidables. Puis, je reviendrai dans quoi, un an? deux ans ? ou plus pour postuler dans une école. Bon, j'ai malencontreusement oublié un petit détail dans toute la planification de ma merveilleuse vie. Quelque chose que j'aurais vraiment préféré oublier et ne jamais devoir remettre ça sur la table.
Après Poudlard
Mon mariage. Ainsi donc, les Black souhaitaient toujours m'avoir comme gendre. Peut-être n'ont-ils simplement jamais eu la moindre information concernant l'énorme honte que je couvre à ma famille pour la bonne raison que mon père veut vraiment obtenir un lien avec les Black peu importe ce qu'il doit dire. Celle que j'ignorais aussi formidablement que ma soeur à Poudlard m'attendait de pied ferme dans son foutu manoir afin qu'on se marie. Magnifique. Pourtant elle semblait partager le même dégout que moi, peut-être sait-elle au fond des choses qu'elle n'aurait jamais dû savoir. Mais tant mieux, je n'avais absolument pas besoin d'une groupie comme femme ou d'une folle amoureuse. Elle pourrait faire l'affaire après tout. Je me suis donc marié sans plus d'émotions et d'enthousiasmes qu'il ne le fallait quand c'était arrangé et non-désiré. Je dois avouer que je me suis défoncé à fond avec mes potes, vous savez quand on fait des trucs avec des plantes, il arrive qu'on trouve de jolies choses fooooort relaxantes et hilarantes. Elle ne s'en est aperçu qu'à moitié, lors de la nuit de noce, c'était pas beau à voir. Si bien que j'ai fini sur le canapé, ce qui ne me dérangeait absolument pas, j'ai même pris la situation avec hilarité et beaucoup de pas de danse, la difficulté de passer de la chambre au salon était très élevée, il y avait des tas de couloirs et d'escaliers qui vous surprenaient au détour. Au début de notre relation, c'était plutôt froid, on ne se connaissait pas et l'envie de commencer à le faire ne nous chatouillait pas alors on se disait, quand c'était nécessaire, les formules de politesse quotidienne. Je lui ai partagé un de ses jours le désir de parcourir la Grande Bretagne pour me cultiver et elle sembla offusqué, voir outrée que je la plante-là pour aller voir des plantes, hola le mauvais jeux de mots.
Je l'ai fait quand même. Je n'ai pas besoin de sa permission, ce n'est pas ma mère. Alors je suis parti tout bonnement un matin avec un merveilleux sac qui contient tout ce que tu veux même si la chose est énorme et qu'en apparence le-dit sac est minuscule. Je chantonnais tout joyeusement ma liberté. Mon périple s'est passé plus que bien si on oublie quelques petits accrocs, dont une magnifique beuglante de ma chère et tendre femme qui enrageait littéralement mon départ sans avertissement. Rectification, je l'ai prévenue mais elle n'a pas souhaité l'entendre alors ce n'est plus mon problème. Je me suis arrêté à divers endroits et fait plusieurs rencontres, tant avec les plantes que les autres sorciers. En particulier dans un bar en Bulgarie.
Le truc c'était l'homme qui se tapissait dans l'ombre du bar et qui commandait sans cesse du whisky. Le barman semblait bien l'apprécié, il était toujours fourré avec lui aussitôt qu'il en avait fini avec les autres clients. À un moment, son visage fut éclairé par la lumière et ce que je vus m'avait sidéré, je n'avais jamais vu un tel visage. J'en avais échappé mon verre et il alla se fracasser sur le sol. Je m'étais approché de lui et l'avait observé sans me cacher. L'homme se sentant visiblement fixé avait semblé irrité par mon regard, il s'était levé et s'approché furieusement de moi. Il m'avait empoigné le col de ma chemise et m'avait dit en me regardant droit dans les yeux : « Qu'est-ce que tu regardes comme ça, p'tit con? » « Une jolie boursoufflure sur votre visage... » L'homme dans la quarantaine était défiguré par de longues cicatrices qui lui barraient le visage de la joue droite jusqu'à sa tempe gauche. L'un de ses yeux ne s'ouvrait qu'à moitié. Il m'avait craché dans la figure et secoué comme une poupée de chiffon mais le barman lui avait ordonné de me lâcher. L'homme défiguré avait laissé paraître un horrible rictus : « Quoi? C'est la première fois que tu vois l'oeuvre d'un loup-garou, jeune homme ? Cette abomination m'a sauté dessus, c'était mon meilleur pote! Qui l'aurait cru ? » Aurais-je fais ça, moi aussi? Si j'avais été mordu par le loup-garou dans la forêt interdite ? Si le-dit loup-garou ne m'avait pas tué et que je m'étais transformé? Si mon meilleur ami s'était malencontreusement trouvé à mes côtés lors de la pleine lune? L'aurais-je attaqué ? Bien sur que oui, je l'avais lu, les loup-garous ne sont pas humains, ils oublient qu'ils se trouvent en face de leur meilleur pote lorsqu'ils sont poilus et qu'ils ont épousé la lune. J'avais refusé de le croire. J'avais resté marqué par cette rencontre inattendue dans ce bar. J'avais le visage de l'homme qui me hantait et je me disais qu'il devait bien y avoir un moyen pour contrer cela. Contrer le truc qui fait qu'on devient un monstre. Une plante peut-être bien ?
J'ai néanmoins continuer mon périple, trouvant de nouvelles et mystérieuses plantes, toutes uniques les unes des autres, sans jamais en trouver une qui pourrait arrêter un loup-garou. Après un an et demi, je retournai à la maison. La crise que me péta ma femme me prouvait une chose; elle s'était ennuyé de ma formidable présence. Je me suis surpris à l'embrasser après cette année d'absence. Je suis rester un moment à notre manoir et j'ai observé la quantité innombrable de plantes que j'ai ramené. Certains m'ont causés bien des problèmes; des maux de têtes, des blessures mineures, j'avais omis de les observer sur place. Après quelques années, je suis retourné à Poudlard, voir le directeur et je me suis proposé comme prof de botanique. Oh et entre temps, moi et ma femme avons une petite fille. La plus belle au monde, celle pour qui je ferais tout sans poser de questions ni réfléchir. Elle est la plus grande fan de mon humour débile, même si j'ai dû changer les blagues pour des trucs plus enfantin.
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Sujet: Re: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi. Lun 07 Juil 2014, 15:00
On vas essayer de faire ça ce soir mon bichon
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Sujet: Re: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi. Lun 07 Juil 2014, 17:22
Non pas moyen
On va y réfléchir
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Sujet: Re: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi. Lun 07 Juil 2014, 23:36
BIENVENUE A POUDLARD
Félicitations, te voilà désormais un membre à part entière de Levicorpus, pour la seconde fois. Tu reçois donc 5 gallions pour ta validation. Quelques petites tâches administratives t'attendent d'abord. N'oublies pas de recenser ton avatar dans ce sujet afin qu'il ne soit pas pris par un autre membre et ton patronus dans ce sujet là . Nous t'encourageons vivement à créer ta fiche de relations ici pour te permettre de te créer des liens avec les différents personnages, ainsi qu'à créer ta fiche de points personnels là. .
Sujet: Re: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi. Mar 08 Juil 2014, 02:17
Merciii
Valait mieux me valider sinon
EDIT: eeh pourquoi c'est écrit sous mon nom que je suis un criminel ? je ne suis pas méchant je postulais pour un prof de botanique cela dit je peux être si vous voulez un prof aux secrets douteux ou un infiltré de Voldy
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Sujet: Re: ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi.
ECJM -Je voulais la lune comme épouse mais elle voulait pas de moi.
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Mar 13 Aoû 2013, 01:30
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. Je ne suis pas en internat. Je ne souhaite pas être parrainée. Et étant bien en règle, je peux vous dire que le code du règlement est très bon mon chou 
Bienvenuuuuuue !!
Tu connais tout le blabla habituel, si t'as des questions patati patata quoi 
ou un infiltré de Voldy 
