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  Orion F. Smethley-Sykes

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 Orion F. Smethley-Sykes  _
MessageSujet: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitimeJeu 13 Juin 2013, 18:37

©️ blend - Tumblr


Orion Felix Smethley-Sykes

ft. Luke Grimes



Carte d'identité:
Nom :
Smethley-Sykes. 
Prénoms :
Orion Felix. 
Date de naissance :
09 mars 1960.
Lieu de naissance :
Aberyswyth.
Âge :
Seize ans.
Année ou Métier :
Sixième année.
Situation Civile :
Célibataire.
Pureté du sang :
Sang-mêlé.
Baguette :
Bois de sycomore, ventricule de coeur de dragon, 31 cm.
Epouvantard :
Un rocking-chair et une paire de pantoufles. 
Patronus :
Un augurey.
Animal de compagnie :
Un fléreur, Magellan. 
Don particulier:
Aucun.
Autres informations:
Caractère

(…...) Sans être un bourreau de travail ou admirer l'esprit « bête de somme » de certains Poufsouffle, Orion ne ménage rien ni personne quand il s'agit de réussir ce qu'il entreprend. Dans ces moments-là, il est sa propre victime et ne se laisse aucun répit jusqu'à ce qu'il ait obtenu exactement ce qu'il voulait, sans quoi il se considère en échec et s'acharne encore davantage. Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins, que la morale les réprouve ou non, et la violence, qu'elle soit verbale ou physique, ne le gêne pas plus que ça. Plus que de la ténacité, c'est de hargne, voire de pugnacité que fait preuve le jeune homme : chaque challenge lui fait l'effet d'une lutte à mort et le plaisir d'éliminer ses adversaires semble souvent supérieur à celui de la victoire elle-même. N'allez pourtant pas croire qu'il est foncièrement mauvais : il se démène uniquement quand ça en vaut la peine et n'est pas du genre à écraser quiconque l'approche pour contenter son égo. D'ailleurs, celui-ci est si bien assis qu'il n'a plus même besoin d'être conforté. Orion s'aime beaucoup, ne doute ni de ce qu'il est ni de ce qu'il fait et estime que les sourires qu'il fait aux gens sont autant de rayons de soleil dans leurs vies de personnes ordinaires – c'est-à-dire de personnes qui ne sont pas lui. Son perfectionnisme est la cause directe l'arrogance et de l'égocentrisme dont il fait preuve : il travaille dur, se prouve chaque jour qu'il est capable du meilleur et ne comprend donc pas pourquoi il devrait le cacher. Il marche avec assurance, parle avec assurance, sourit avec assurance... En bref, il transpire l'assurance et rares sont ceux que ça n'agace pas. Il demeure cependant assez discret sur sa vie personnelle et ne ressent pas le besoin de se jeter des fleurs ou de monologuer sur tel ou tel de ses exploits, ce qui, au lieu de rendre sa prétention tout bonnement insupportable, lui confère quelque chose d'intriguant. Pour en savoir plus à son sujet, sachez que ceux qui y sont allés en rusant sont souvent revenus bredouilles. Il est capable de parler de longues heures sans évoquer une seule fois ce qui relève selon lui du domaine privé et en essayant de l'embrouiller, vous n'arriverez qu'à le perdre dans des digressions dont lui même ne saura pas se sortir. Sa naïveté l'amène à se confier au feeling, de manière très intuitive et sans avoir mené une enquête préalable sur la personne concernée : vous l'aurez plus facilement en jouant la carte de la sincérité, à laquelle le Serpentard, de nature sensible, ne saura pas résister. Loin de l'image calculatrice que véhiculent certains de ses camarades de cachots, Orion fonctionne au flair et si quelqu'un lui fait bonne impression, son optimisme lui ôtera toute méfiance et il sympathisera sans mal avec cet individu. Attendez vous en revanche à ce qu'en retour, il veuille tout savoir de vous et s'attende à une fidélité sans faille, sans quoi vous le vexeriez inévitablement et risqueriez de vous mettre à dos le sorcier le plus rancunier du Royaume-Uni. Il ne tolère aucun impair, et blesser son orgueil en est un de taille. En revanche, si vous parvenez à éveiller sa curiosité, vous réaliserez rapidement qu'il est d'une compagnie agréable, charmant son entourage par l'énergie et la malice qui le caractérisent. Cependant, son tempérament impulsif le jette souvent dans des tourments dont il se passerait bien, et les relations compliquées l'assaillent de tout côté : il aime, il n'aime plus, il hésite, se pose des questions.. Il oscille bien trop souvent entre amour fou et haine féroce, et préfère généralement couper court à ces réflexions en éradiquant le problème, quitte à rayer des personnes importantes de sa vie, pourvu qu'elles ne l'embarassent plus.  
Notes aux Buses et Aspics si adulte

Astronomie : E
Botanique : E
Défense contre les forces du mal : D
Histoire de la magie : A
Métamorphoses : P
Potions : A
Sortilèges : P
Option 1 Soins aux créatures magiques : O
Option 2 Runes : A




A propos de moi:

Sur le web ou dans la vie IRL on me connait sous le nom de Léo mais on me surnomme souvent Nono, Noiro, Communiste et autres joliesses. J'ai choisi d'utiliser LUKE GRIMES comme personnalité et ne souhaite pas de doublon d'avatar. J'ai connu Levicorpus grâce à Google il y a trois ans et mon impression est qu'il est tip-top-coolos. Je ne suis pas en internat. Je ne souhaite pas être parrainé. Et étant bien en règle, je peux vous dire que le code du règlement est code bon  Orion F. Smethley-Sykes  4119086215.

©️ _Viviie.




Dernière édition par Orion F. S-Sykes le Ven 12 Juil 2013, 18:41, édité 10 fois
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 Orion F. Smethley-Sykes  _
MessageSujet: Re: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitimeJeu 13 Juin 2013, 19:30

© blend - Tumblr


Follow your inner moonlight;

don't hide the madness


Frustré, l'enfant dît à ses parents qu'il les quittait pour de bon, qu'ils ne le reverraient jamais et qu'il ne leur resterait que leurs yeux pour pleurer de n'avoir pas accédé à sa demande. L'après-midi avait commencé normalement, avec un repas qu'ils avaient partagé ensemble, préparé une fois de plus selon les goûts du garçonnet puisque c'était la seule condition à laquelle il acceptait de s'alimenter. Le silence était tombé dès les premiers coups de fourchettes et rien d'autre que la pluie n'était venu interrompre le concert de mastication auquel ils s'étaient livré, pour une bonne demie-heure au moins. Peut-être que le repas avait été trop long ? C'était probablement cela. Il était si jeune, et ils lui en imposaient tant ! C'était une honte de le réprimander parce qu'il n'était pas capable de rester assis le temps d'un repas, ou parce qu'il coupait la parole. Le rôle des parents était justement de l'encourager à s'exprimer, à faire partager aux autres ses sentiments et non pas à les garder enfouis.. Ou alors, elle se trompait totalement. Oui, elle faisait erreur, c'était à cause de l'atmosphère suffocante de ce mois de mai qu'il s'était emporté si vite. Elle-même avait cru s'apercevoir d'être plus irritable au lever, lorsque l'explosion du vitrail du salon l'avait réveillée, peu avant l'arrivée du jour. En y repensant, Demelza Sykes eut un sourire ému. Il était quatre heures du matin lorsqu'un bruit de verre brisé, localisé juste sous sa chambre, l'avait faite sursauter. Elle avait tout de suite su à quoi s'en tenir et avait soupiré, agacée, avant de jeter un oeil au dehors par le balcon. Comme elle s'y était attendu, il n'y avait plus personne ; c'était à chaque fois pareil et malgré la singularité de la chose, elle s'y était accommodée. Prenant le temps de s'habiller, de préparer le petit-déjeuner et ayant même attendu la chouette de la Gazette, elle s'était enfin intéressée à la vitre qui avait été brisée pour la quatrième fois en un an. Elle avait béni le ciel de ce que la manipulation pour la remettre en place était enfantine et avait assisté à la lente reconstitution de la scène historique du vitrail, la victoire d'Edouard Ier sur Llewelyn le Dernier signant la conquête définitive du pays de Galles. Quand Abbadon était descendu à son tour, elle n'avait pas jugé utile de lui en parler : c''était l'équivalent de la pluie et du beau temps chez d'autres, tout ce qu'il y avait de plus ordinaire pour le couple.  


Un jour de printemps 1967, 13:29.

Assis sur l'une des six chaises ouvragées de la salle à manger, Abbadon Smethley referma ses doigts calleux sur le mince poignet de sa compagne. Comme il avait toujours été avare de sentiments et maladroit de nature, il s'efforçait de la soutenir par une présence, un signe qu'elle saurait interpréter et qui le soulageait de mots qu'il n'arriverait pas à lui dire. Il aurait voulu lui  chuchoter tout ce qu'elle avait besoin d'entendre, la rassurer par de longues phrases qui l'auraient bercée, être digne d'elle, mais il n'y parvenait pas. Ils se comprenaient d'une manière sommaire, animale, presque sauvage, par gestes ou par soupirs, en se voyant hésiter ou sourire, insister ou partir. C'est de cette façon qu'il avait compris dès la naissance d'Orion qu'elle se sentait coupable. Trop jeune, trop bête, trop laide même pour être la mère d'un enfant issu de sa propre chair ; aux yeux de Demelza, tout dans la nature était beau, immuable et éternel à sa façon, tout, sauf elle. Il n'avait jamais su de quel crime elle s'accusait, ni pourquoi elle semblait vouloir porter le poids du monde sur ses frêles épaules, et pourtant,puisqu'il était sien, le fardeau dont elle se chargeait était devenu pour lui la chose la plus désirable au monde.

Ils n'avaient jamais évoqué leur passé sérieusement. Elle disait que la vie était trop courte pour se souvenir, qu'il fallait avancer et que le destin remettrait les choses qui en valaient la peine sur notre route lorsqu'il serait temps. Instinctivement, il avait pensé qu'elle fuyait quelque chose, qu'elle cherchait à enfouir une peine qu'il soupçonnait intense, lancinante et qu'il ne souhaitait pas ranimer et qu'à ce jour il n'avait toujours pas tenté d'évoquer. Il la lâcha doucement et l'observa. Elle était installée sur la chaise faisant face à la sienne, séparée de lui par la table de bois sombre sur laquelle ils venaient de déjeuner, occupée à ajuster des fleurs sauvages dans un vase transparent. Ses yeux clairs étaient concentrés sur sa tâche, tout son être avait l'air transporté loin, bien loin de lui. Elle ne l'entendait pas ; il ne disait rien. Leurs  respirations étaient au même rythme et il ne cillait pas, envoûté par celle qui refusait toujours de devenir son épouse. Il s'était lui-même opposé à l'idée du baptême social, à l'idée d'aller faire dactylographier son amour par une secrétaire payée à l'estampillage, étant contre le fait de souiller la part de sacré d'une relation dans une mairie. C'était avant, avant de la rencontrer, de l'aimer et surtout avant de commencer à craindre de la perdre. Elle n'était parfois plus que l'ombre d'elle-même, et dans ces moments-là il avait peur de la voir disparaître dans un nuage de fumée, comme ça, comme une brume d'hiver. Séduisant fantôme, adorable folle, comme il la chérissait.. À son tour, il perdit pied.


Un jour de printemps 1967, 13:36
Dehors, il pleuvait. Orion était sorti de la maison les poings serrés, courant se réfugier derrière l'ancienne grange. Ils vivaient, ses parents et lui, sur une immense propriété agricole perdue dans la campagne galloise, spécialisée dans l'élevage bovin depuis plusieurs décennies. C'était aujourd'hui un autre type de mammifères qui paradaient dignement derrière les clôtures avec leurs oreilles immenses, leur fourrure d'ours et leurs miaulements félins ; en réalité, une cinquantaine de fléreurs étaient protégés du monde extérieur par l'enclos magique où ils étaient élevés depuis leur naissance. D'abord intimidé par ces hybrides venus de l'autre côté de l'Angleterre, le petit garçon s'y était finalement habitué et les observait désormais avec un regard nouveau, combinant à parts égales fascination et jalousie. À bien y regarder, ses sentiments à leur égard étaient comparables à ceux qu'il eût eus envers un petit frère envahissant : passant de l'adoration totale à l'irritation la plus sévère, ses réactions pour s'accaparer l'attention parentale prenaient des proportions gargantuesques et firent de lui un enfant 'difficile'. Systématiquement catégorisé 'à part' par ses propres parents, il était plutôt dit 'à problème' par ceux des voisins avec qui il jouait l'été et supportait difficilement le fait qu'on parle de lui pendant qu'il courait avec les autres, en chuchotant et en détournant le regard pour ne pas le mettre mal à l'aise lorsqu'il semblait s'en rendre compte. Le moins soutenable de ces affronts demeurait cependant celui fait par sa mère, dont il cherchait à être la seule et unique fierté et qui, en dépit des efforts qu'il pensait faire, l'écartait un peu plus de l'idéal qu'il cherchait à atteindre. Elle lui murmurait des mots de réconfort à chaque fois, lui pardonnait ses bêtises comme s'il s'était agi d'un handicap auquel il ne pouvait rien et confortait ainsi sa certitude d'être un incompris. Sans le réaliser, il allait à chaque fois plus loin, tentait d'atteindre un point de non-retour, de franchir avec elle un nouveau cap ; il voulait qu'elle cesse de l'excuser avec cette compassion écoeurante, qu'elle cesse de s'aveugler avec des prétextes délirants. Le temps passant, il lui fallut admettre que ce moment n'arriverait jamais.

Les deux pieds solidement enfoncés dans la boue, le jeune sorcier sondait machinalement le fond d'une flaque d'eau sale à l'aide d'une brindille. Il avait couru jusqu'ici sans y penser, par habitude. Contrairement à ce qui serait arrivé à n'importe quel autre enfant de son âge, personne ne le sommait de rentrer immédiatement pour ramasser les bris de verre et il était à peu près certain que personne ne lui en reparlerait quand il franchirait à nouveau le seuil de la porte. Tout serait exactement comme avant : calme, platitude, tolérance. Ils lui souriraient tous les deux, peut-être même qu'il aurait droit à l'accolade du rescapé, comme s'il avait survécu à un naufrage de six semaines et qu'enfin, un paquebot le retrouvait. Quelque part, son idée n'était pas tout à fait fausse. Il était seul au monde sur cet îlot familial où personne ne parlait sa langue, égaré parmi les indigènes d'une contrée étrangère, presque hostile. Il n'y avait qu'à attendre une planche de sauvetage, un salut quelconque qui le ramènerait chez lui, parmi ceux qui le comprenaient, quitte à ne pas l'aimer. Car c'était vraisemblablement ça le plus douloureux : l'amour. Il avait toujours aimé sa mère de la manière la plus inconditionnelle qui soit, avec toute la profondeur, toute la sincérité dont son âme chétive était capable. Elle était son inconnue pour la vie comme il l'était pour elle, et le temps comme la résignation finirent par panser leurs plaies.

Début de l'été 1976, après-midi.

Le retour de King's Cross avait été plus rapide qu'à l'accoutumée. Il y avait plusieurs centaines de miles de Londres jusqu'ici et pour la première fois, il avait effectué le trajet seul, en balai. Il ne s'était jamais fait à l'effervescence des termitières urbaines, avait en horreur la promiscuité de certains lieux publics ; il détestait les odeurs, les bruits, le mouvement permanent et le contact inévitable. C'était la conséquence d'une enfance casanière, inactive et ennuyée, une partie de lui s'était fatalement habitué au calme et à l'isolement qu'il se préparait à retrouver chez lui. Ses relations avec ses parents étaient à présent des plus classiques, d'autant plus qu'ils ne se voyaient que très rarement, eux étant intégralement dévoués à leur élevage et lui consumant ses journées dans le voisinage. Avant la porte, six hautes marches étroites, d'un béton ordinaire et fendu par endroit, encadrées d'une couronne d'herbes folles. Il les dédaigna et contourna la maison avec appréhension, craignant de voir l'un des rideaux s'écarter devant la silhouette gracile de sa mère, qu'un soleil au zénith avait dû précipiter en cuisine. Il était trop tôt pour des retrouvailles émues et il avait besoin de plus de préparation, chaque mois de juin lui faisait l'effet d'une épreuve. Il arriva à l'étage par un escalier extérieur et entra discrètement sur un palier désert. Aucun bruit ne lui parvenait du rez-de-chaussée. Haussement d'épaules. Sa valise abandonnée dans un coin, il fit deux tours de clé dans la serrure de sa chambre et n'y toucha jusqu'au lendemain matin. La nuit était tombée sans que le jeune homme ne la voit ; il lisait des heures durant, étranger à tout ce qui l'entourait, sauf à ces livres qu'il emportait où qu'il aille. Il s'agissait d'atlas, d'encyclopédies et de cartes immenses repliées à l'infini, d'une quantité considérable de traités géographiques, de récits de voyage, d'extraits de carnets de bord ; c'était l'unique type de lecture qu'il supportait, non par plaisir mais par besoin. Sinon l'unique, voyager était en tout cas l'un des principaux intérêts d'Orion. Il aimait avoir peur, être perdu, ne pouvoir se fier qu'aux étoiles ou à soi ; il fantasmait des émotions qu'il n'avait jamais eues, rêvait de parfums étrangers, de sons nouveaux ; sans le savoir, il cherchait un monde qui n'existait pas.

Pendant ce temps, dans la cuisine, une lettre était arrivée. Elle était d'un papier ancien, avec une écriture manuscrite et un cachet de cire à l'arrière ; une lettre de Poudlard, à n'en pas douter.  Les résultats des BUSEs étaient une chose importante pour la plupart des parents et comme ils ne dérogeaient pas à la règle, Abbadon et Demelza l'avaient ouverte d'une légère entaille sur les côtés, faite avec un coupe-papier. Il en avait obtenu six sur neuf, avait quasiment réussi un sans faute en soins aux créatures magiques et en astronomie, les matières de prédilection du clan Sykes ; ils étaient fiers et n'en avaient pas demandé tant.



© _Viviie.


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MessageSujet: Re: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitimeMer 19 Juin 2013, 11:37

Bienvenue  Orion F. Smethley-Sykes  2917972826
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MessageSujet: Re: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitimeMer 19 Juin 2013, 13:42

 Orion F. Smethley-Sykes  681814920 Mille mercis  Orion F. Smethley-Sykes  785334
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MessageSujet: Re: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitimeMer 19 Juin 2013, 18:06


« Mais quelle teigne tu es, mon garçon. Malgré ton coeur d'artichaut, il semble que tu sois froid et colérique. Sans aucun doute que tu iras à ...»
SERPENTARD !

Félicitations, te voilà désormais un membre à part entière de Levicorpus.  Tu reçois donc 5 gallions pour ta validation. Nous t'encourageons vivement à créer ta fiche de relations ici et à créer ta fiche de points personnels là. . Si ton personnage souhaite jouer au Quidditch, c'est par ici

Bon jeu sur Levicorpus !
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MessageSujet: Re: Orion F. Smethley-Sykes     Orion F. Smethley-Sykes  Icon_minitime

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